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~ Le Miroir d'Alice ~ |
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La fin de la nuit et la journée qui suit sont horribles. La position tout d'abord, dans laquelle Alice est ligotée et enchaînée; le bâillon qui l'étouffe presque; le vibrateur qui agite son ventre comme un mixeur agite une mayonnaise; et les pinces qui torturent ses pointes de seins. L'épouvantable sensation d'enfermement aussi. Mais c'est surtout le plug électrique, qui, à intervalles plus ou moins réguliers, mord son anus de décharges électriques. Alice grogne, vagit dans son bâillon. Ses cris étouffés se répercutent sur les parois de métal du container. Elle saute, rebondit, tournoie sur elle-même, toujours accrochée à la chaîne.
Et cela cesse. Pour recommencer un peu plus tard.
Alice se débat tellement qu'à un moment, elle se retrouve sur le ventre, la poitrine écrasée sur la tôle du container. Position qu'elle garde le reste de la nuit, ne pouvant, malgré la souffrance de ses seins broyés par les pinces, se retourner. Telle une tortue renversée.
C'est ainsi, qu'en fin de journée, les deux hommes la retrouve, trempée d'une mauvaise sueur, maculée de crasse, vautrée dans ses excréments et ses vomissures. Les deux hommes s'esclaffent de la voir ainsi, l'injurient de s'être ainsi souillée et la détachent. Enfin.
- Avance salope, à quatre pattes comme une chienne.
Dehors les chiens viennent la renifler.
- J'ai dit plus tard, les chiens, quand elle sera propre !
Alice, terrifiée, sanglote mais avance, tractée par la laisse.
Les deux hommes l'entrainent dans ce qui semble être une usine désaffectée. Elle se blesse sur le ciment rugueux, sur les grilles des caniveaux.
Enfin, ils ouvrent une dernière porte, tirent Alice dans la salle carrelée et referment la lourde porte derrière eux.
- Va t'allonger sur le banc, qu'on t'attache. Vite ! Sinon...
L'homme brandit la télécommande et Alice obéit terrorisée.
Bientôt elle est ligotée durement, les cuisses écartelées, le cou garroté, la tête pendante.
Brutalement les hommes ôtent le vibrateur, qui sort avec un affreux bruit de succion, et le plug électrique. Puis ils détachent la ceinture. Lorsqu'ils enlèvent les pinces crocodile, Alice hurle dans le bâillon mais ils n'ont que faire de ses souffrances.
Comme ils n'ont que faire de ses pleurs quand ils lui rasent la tête.
Alice ferme les yeux mais quelque chose qui crochète ses narines et les étire, les lui fait réouvrir et elle voit avec horreur un poinçon incandescent s'approcher. Et lui transpercer le nez.
"ça cautérise" se moque l'homme "et ça c'est pour t'obliger à garder la bouche ouverte". Et il passe un anneau, en visse les écrous qui viennent pincer les narines d'Alice. Qui ne peut plus en effet, respirer par le nez.
Les deux hommes continuent leur sinistre besogne. Ils percent les bouts de seins d'Alice, les appareillent d'extenseurs munis de clochette, qui distendent les tétons.
Alice râle de douleur. Elle essaie de se débattre quand le poinçon rougi perce une de ses lèvres intimes mais les cordes qui la ligotent au banc, qui l'étranglent, empêchent tout mouvement.
Alice est maintenant appareillée complètement: son nez est percé et ses narines sont pincées; ses mamelons transpercés, étirés pointent de manière obscène et son sexe est dilaté par trois anneaux et un arceau de métal.
Alice geint doucement, les yeux fermés, et pense qu'ils en ont fini de la torturer mais elle se trompe...
Alice manque de basculer avec le banc quand la brûlure effroyable du fer rouge creuse son chemin dans son esprit, s'incruste dans la chair tendre de son pubis.
Alice hurle sa peine et sa folie. Elle hurle encore quand après l'avoir marquée sur le devant, ils marquent chacune de ses fesses.
- Tu es une vraie chienne maintenant. Les clients le sauront tout de suite en voyant ton cul.
- Mais en attendant, au bain. A quatre pattes et plus vite que ça !
Ils ont mis Alice à tremper dans une méchante baignoire fermée par une grille après avoir remis en place le plug électrique "Pour que tu sois sage !" lui ont ils expliqué.
"Pour désinfecter les chiennes" dit l'homme en lui présentant le bidon d'eau de Javel qu'il verse dans la baignoire.
Une affreuse odeur de chlore se répand dans le réduit et Alice suffoque.
Encore plus, quand l'homme lui plonge la tête sous l'eau. Pour désinfecter, répète-t-il.
Ils sont partis, ils ont éteint les lumières. Presque toutes les lumières.
Seule reste allumée cette ampoule nu qui éblouit les yeux irrités d'Alice.
Les heures passent.
Alice essaye de se libérer. Elle essaye d'enlever le cadenas qui verrouille la baignoire-cage.
Elle n'y arrive pas.
Elle réessaye encore beaucoup plus tard quand l'eau devient froide et que Alice grelotte.
C'est le soir de nouveau. Ils sont revenus et ont ouvert la grille.
Alice est debout devant eux, les mains sur la tête, les cuisses écartées, nue, comme ils lui ont ordonné.
Ils la nettoient.
Alice tremble de froid et de honte tandis qu'ils vérifient...
"Tourne toi, chienne!" |
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"On va te réchauffer ! Je veux t'entendre compter les coups"
Alice implore, supplie, mais le fouet tombe sans pitié sur son dos.
Elle compte en sanglotant "... six Pitié ! Aiiiie... sept..."
Vingt coups. Elle a compté vingt coups.
Alice a le dos en feu tandis qu'elle sort à quatre pattes du réduit à la baignoire.
Le gros a enlevé son pantalon.
Alice lève les yeux.
Le sexe turgescent de l'homme dépasse du caleçon crasseux.
"Montre nous ce qu'une chienne peut faire avec sa bouche et sa langue"
"Ouvre ta jolie bouche et sors ta langue. Plus vite ! "
Alice obéit. Elle prend le sexe de l'homme dans sa main, le lèche. Puis elle saisit le membre de l'autre homme.
Alice suce et branle les deux hommes,
jusqu'à ce qu'enfin ils se vident dans sa bouche et sur son visage.
Le sperme dégouline de la bouche d'Alice, tombe sur sa poitrine. Elle a un oeil collé qu'elle ne peut ouvrir. De l'autre elle regarde avec dégout le plug électrique qu'ils ont sorti de son derrière.
"Nettoie ta merde, chienne. Ou c'est le fouet"
Alice lèche, avale ce qui au début lui semble immonde. Puis elle se dit que après tout cela provient de son corps. A elle.
L'un des hommes est parti. L'autre a enfilé sur le corps d'Alice une sorte de combinaison de latex avec des sangles partout. Il a emprisonné ses mains dans des gants sans doigt, comme des moufles mais sans le pouce. Les seins d'Alice sont nus, serrés à leur base et son sexe et son derrière sont dénudés également.
Tout est de la même couleur, chair, tacheté de noir. Alice pense qu'elle doit avoir l'air d'une chienne dalmatienne.
Le gros homme présente à Alice un plug avec une queue au bout.
Qu'il enfonce dans son trou brûtalement. C'est un plug énorme.
Malgré le lubrifiant, Alice crie quand la partie large de la chose dilate et force son anus. Puis glisse pour se bloquer sur la partie étroite.
La bouche d'Alice est maintenue grande ouverte par un bâillon-anneau. et l''homme y enfonce un doigt.
"Sors la langue comme une chienne"
Alice est aveugle maintenant. L'homme a placé un masque sur ses yeux. Elle distingue la lumière mais c'est tout.
Une lumière tachetée comme la combinaison.
"Fais la belle. C'est bien. En route maintenant. Tu vas retrouver tes copains. Et garde la langue dehors !"
Alice, tenue en laisse, avance à quatre pattes, la langue pendante. Elle suit la laisse, elle suit l'homme qu'elle ne voit pas.
Les clochettes accrochées à ses seins, à son sexe tintinnabulent à chacun de ses pas.
La lumière change soudain et il fait plus froid. Alice pense qu'elle est dehors.
Elle entend des jappements.
"La voici votre chienne en chaleur. Vous allez pouvoir la couvrir comme vous voulez"
"Les chiens ! " pense Alice. "Les chiens !"
Elle les entend qui reniflent, qui la reniflent. Elle sent leur souffle chaud sur son derrière nu.
L'homme a laissé Alice accrochée à un piquet. Il a enlevé le masque.
Les chiens tournent autour d'Alice, s'approchent.
Le plus gros, le chef, a la priorité sur les autres.
Il monte sur Alice. Il bave sur elle. Il...
Alice hurle quand le chien la couvre.
Le jour, Alice est enfermée dans la baignoire. Elle a pris l'habitude de se laver soigneusement, de se frotter énergiquement. Afin qu'ils ne la lavent pas, eux. Leurs mains sur son corps la feraient vomir s'il n'y avait pas la promesse du fouet ou du gode électrique.
Et puis aussi parce qu'elle se sent salie, souillée des viols à répétition qu'elle subit.
L'eau de javel la pique, la brûle mais elle pense que celà la purifie de ces souillures.
Les nuits, elle les passe avec les chiens. Ils la violent jusqu'à ce qu'ils soient rassasiés. Et ils sont nombreux les chiens. Mais elle les préfère à ces hommes qui se servent d'elle, le soir sur la petite scène de théatre que les deux hommes ont fabriqué dans l'ancienne usine. A ces hommes qui payent pour utiliser sa bouche, sa chatte et son cul.
Les chiens sont brutaux. Ils ne connaissent pas leur force quand ils la défoncent. Mais Alice se dit qu'ils ne sont pas méchants, qu'ils font ça parce qu'on les a dressés à le faire et qu'ils ne la méprisent pas.
D'être une chienne.
Parce que c'est ce qu'elle est. Elle jouit quand les chiens, les hommes la violent, la baisent, l'enculent, déchargent dans sa bouche et sur son visage. Alice aiment sucer ces bites de chiens, ces bites d'hommes qui sentent le pas lavé.
La pièce de théatre que Alice joue est toujours la même. Une pièce en quatre scènes.
Tout d'abord, elle rentre sur scène habillée en chienne, à quatre pattes, en laisse.
Messieurs, cher public, voici la chienne. Voici votre chienne, cher public !
Fais la belle, chienne ! Montre toi !
Voyez sa langue agile !
Voyez comme elle est ouverte !
Cliquez sur le visage et sur le ventre d'Alice pour des gros plans
Voyez, cher public comme elle se dandine ! Voyez comme la chienne aime ça !
A tout de suite, cher public. La chienne revient !
Puis Alice revient sur scène, nue ou presque, à peine enveloppée d'une serviette de bain, une perruque sur la tête.
La voici !
Avant de vous donner du plaisir, la chienne va se laver, se préparer, se pomponner pour vous !
Allez au bain, la chienne !
Et nettoie bien ta chatte de putain !
Puis Alice s'habille, un effeuillage à l'envers: une tenue presque sage si ce n'étaient la jupe extrèmement courte et le chemisier presque transparent que semblent transpercer ses tétons distendus par l'appareillage.
Voyez sa langue ! Imaginez la lorsqu'elle va s'enrouler autour de votre queue ! Imaginez chers clients !
Penche-toi ! Montre ton cul bien propre à nos amis.
Approchez chers clients ! La chienne vous attend dans sa niche. Elle ne demande qu'à sucer, à lécher. Elle ne demande qu'à être prise par tous ses trous !
Approchez, approchez !
50 la pipe, 100 pour ses autres trous !
C'est donné pour une salope pareille !
Approchez, approchez !
A la niche. Dépêche-toi la chienne ! Tes admirateurs s'impatientent.
Une pipe ? 50 Monsieur, payable tout de suite !
Vous voulez lui défoncer la chatte ? Pas de problème ! 100 s'il vous plait.
Penche toi plus, toi ! Mets ton cul devant le trou !
Quand la séance est terminée, Alice n'en peut plus. Il lui semble que son ventre, son anus sont déchirés. Tous les soirs elle est prise par trente, quarante, parfois une soixantaine de clients. Elle est nauséeuse du sperme qu'elle a dû avaler. Sa chatte et son cul débordent d'un trop-plein de foutre.
Alice rapporte beaucoup à ses deux infâmes ravisseurs.
Quand Alice harassée, s'écroule dans un sommeil agité, après avoir été montée par les chiens, prise par les hommes, Alice retrouve le brocanteur.
Elle est dans le même cachot que dans le rêve précédent, habillée en chienne, enchaînée à la muraille humide, les cuisses écartelées, les épaules presque disloquées.
L'homme parle tandis qu'il viole Alice :
- Le moment approche. La Lune et Mars seront bientôt en conjonction. Bientôt je pourrai réaliser mon grand dessein. Ouvrir la porte aux Sept Cavaliers de l'Apocalypse. Belial acceptera une salope pleine de foutre comme toi, et il m'accordera la clef de la Porte. Ta souffrance sera mon offrande et ils m'obéiront. Les Sept Cavaliers m'apporteront la puissance.
Alice ne comprend pas grand chose à ce charabia. Ses clochettes sonnent, sa tête cogne sur le mur, ses épaules sont déchirées tandis que l'homme défonce son ventre béant en ahanant. Mais elle a bien entendu qu'elle sera offerte aux démons au cours d'une sorte de sacrifice. Alice se dit qu'il faut qu'elle se rappelle de tout cela quand elle sortira de son cauchemar.
Avant de quitter Alice, l'homme place une pince crocodile sur la langue d'Alice, tire dessus.
- Les chiennes doivent avoir la langue sortie...Voici pour t'en souvenir.
Alice sanglote de douleur, la langue distendue, mordue par la pince.
Elle n'entend pas la grille qui se referme, l'homme qui la salut en riant :
- A bientôt, Alice !
Mais peu à peu, le nombre de clients diminue. Alors il leur faut trouver autre chose. C'est tout d'abord la "pole dance", la danse obscène autour d'un mat.
Puis:
"tu verras, c'est une surprise. Ils ont payés très cher pour voir ça"...
Alice ne comprend pas. Ils ont modifié la plate-forme de danse et elle est attachée dessus. Un collier, des bracelets immobilisent totalement le haut de son corps tandis que des barres écartèlent ses cuisses.
Quand les projecteurs s'allument, la plate-forme est en hauteur.
Pour la première fois sur cette scène, vous allez assister au châtiment du pal.
C'est ainsi qu'autrefois on punissait les salopes !
L'homme donne une impulsion à la plate-forme et celle-ci se met à tourner.
A tourner et à descendre.
Alice a entendu ce qu'a dit l'homme. Elle pense, effrayée, que cela recommence. Elle pense qu'elle va mourir dans d'atroces souffrances. Comme les autres fois. Mais elle se dit aussi que cela va mettre fin à cet horrible cauchemar. Et cela la rassure un peu.
Un peu seulement. Car elle ne peut voir ce qu'il y a en dessous d'elle. L'objet sur lequel ils ont décidé de l'empaler.
( Cliquez sur la tête et les mains d'Alice pour deux gros plans)
Pourtant elle continue de faire comme ils lui ont appris: sortir la langue comme une chienne, agiter ses seins pour faire tinter les grelots, onduler du bassin pour que la médaille de chienne et le grelot s'entrechoquent.
Alice tourne et descend lentement. Elle entend des murmures dans la salle. Qui s'amplifient au fur et à mesure qu'elle se rapproche du pal...
( Cliquez sur les mains d'Alice pour un gros plan)
Alice se débat maintenant, essaye de se libérer. La terreur monte en elle comme un raz de marée.
Ca y est ! Alice sent la chose qui touche ses lèvres. C'est glacé. Elle essaye de serrer les cuisses. En vain.
" Du métal ! C'est le métal qui me sauve de ces cauchemars " réalise soudain Alice.
Le métal la pénètre... Oh ! C'est énorme ! Et ça tourne en elle. Ses chairs intimes s'enroulent autour de l'objet qui s'enfoncent en elle.
Ou plutôt, Alice s'enroule autour du pal métallique, s'enfonce sur lui.
Se déchire, s'éventre sur lui...
à suivre...