F.B.I

Female Bondage Investigators

(Avec la merveilleuse collaboration de mon amie Hélène )

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Chapitre 3: le dressage de Jennifer

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Jennifer Miller attend. Elle ne sait pas depuis combien de temps, elle ne sait pas où elle est, elle ne sait pas pourquoi. On l'a enchaînée là, bâillonnée et masquée, presque nue, à part un bikini minuscule. Elle aimerait soulager ses cuisses, rendues peu à peu douloureuses par la barre qui les maintient écartées. Elle aimerait également bouger la tête et le cou, mais là aussi, c'est impossible: un collier de posture force sa tête droite. Très droite.

 

On vient ! Jennifer Miller sursaute. On tapote sèchement sur son ventre, sur ses cuisses avec... une cravache. Elle crie un peu quand les coups se font un peu plus durs. Elle recule pour y échapper. La laisse et la chaîne se tendent, étirent le micro bikini. Elle ressent la pression des fines lanières, grogne dans le bâillon pour protester. Mais la cravache se fait plus insistante et Jennifer recule encore. C'en est trop pour le tissu fragile et il se déchire: la cravache disparaît.

C'est la première fois. Mais cela va être recommencer chaque jour. Et bientôt Jennifer saura ce qu'elle doit faire sans que la cravache ne soit nécessaire pour le lui rappeller: reculer jusqu'à ce qu'elle-même déchire le bikini, jusqu'à ce qu'elle même se dénude.

On ôte le pénis de caoutchouc qui emplit et déforme sa bouche. Jennifer Miller a honte de baver ainsi. Quelque chose frotte ses lèvre, repousse sa tête en arrière, s'insinue dans sa bouche, en ressort. Peu à peu Jennifer Miller comprend qu'elle doit lécher la chose. Elle le comprendra d'autant mieux les jours suivants car elle saura ce qui vient ensuite.

Elle doit mouiller le godemiché afin qu'il pénêtre son ventre aisément. Puis on va ligoter ses jambes autour du manche bien calé avec plusieurs courroies, reboucher ses lèvres d'une poire gonflable et mettre en route le vibreur du godemiché.

Elle saura également qu'elle va rester là, ainsi attachée, jusqu'à ce que un plaisir obligé la fasse couiner honteusement.


à suivre...

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