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~ Sainte Agnès ~ Hagiographie ou autobiographie ?
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De nos jours dans une grande ville de France.
Je suis masseuse Réiki et domina professionnelle à mes heures. Et artiste SM (mais ceci est une autre histoire que vous connaissez déjà...)
J'ai découvert le SM consensuel. Je ne touche pas à mes clients mais la faune de ce milieu si particulier m'offre des proies faciles. Et discrètes.
C'est un mercredi et comme souvent le mercredi, je me rends dans un petit club privé: le Boudoir Sadien.
(cliquez sur la voiture pour un gros plan )
Peu de clients ce mercredi. Comme tous les mercredis. Je n'apprécie pas la foule et cela me convient parfaitement.
Je fais un petit bonjour à Ariane, un soumis que sa Maîtresse prête au club. Je l'aime bien cette Ariane, toujours prête à servir (sourire...)
Elle connaît mes goûts et arrive bientôt avec ma bouteille de malt.
Bonjour, toi. Approche un peu que je te vois.
Une vraie beauté ce soir. Et toujours prête. Nous irons jouer tout à l'heure. Mais laisse moi boire quelques gorgées...
Oui Madame... Merci madame.
Tiens une nouvelle. Une adepte du latex. Elle est charmante avec sa combinaison intégrale en latex et sa jupette de vinyle. Prête à être dressée.
Pourtant quand elle passe prêt de moi dans le cliquetis des mousquetons accrochés à ses bracelets de cuir, je perçois l'odeur de la peur (je suis une vamppire, ne l'oubliez pas ).
Je comprends alors que c'est sa première fois, sa première sortie en public.
Elle se dirige vers... s'agenouille devant ... la pauvrette ! Celui là est nul. Un certain Master Wolf. Qui n'a de Maître que son pseudo. Une rencontre par Internet ? je ne vois pas d'autre explication. Enfin c'est son problème. Tout le monde ici est adulte et consentant.
Le Master Wolf attaque tout en finesse:
Tu es en retard, salope.
Présente-toi !
Elle obéit et le gros c... détaille de manière obscène le ventre et le derrière de la jeune femme. Il me prend même à témoin.
Voyez Madame comme la putain est ouverte.
J'entends la respiration de la fille siffler à travers les opercules. Elle va se rebeller... Mais :
Les putains, ça n'ouvre la bouche que pour sucer leur Maître.
Le Master machin bâillonne la fille, enchaîne ses poignets et la propulse à coup de cravache vers les salles de "torture".
Que m'importe après tout. Il est temps de s'occuper de ma petite Ariane. Que j'entraîne également vers les donjons.
Il y a trois donjons, équipés différemment.
Tout retard sera sévèrement puni.
Cette salle où le débile accroche la fille à la croix puis cette autre où j'enchaîne Ariane.
Non sans l'avoir cagoulée et entravée.
Je t'ai apporté un cadeau. Il est beau non ?
Ariane fait "umf "
Puis " gronf " quand je lui enfile le gode dans l'anus. Non sans l'avoir lubrifié: je suis Maîtresse à cet instant, pas un bourreau. De toutes façons Ariane a l'habitude d'en prendre plein le derrière. Je fixe le gode (vibrant bien sur !) avec de la corde, en profite pour faire un bon "ligotage de couilles"; comme dit Ariane, qui parfois s'exprime comme une marchande de poissons.
(cliquez sur le ventre d'Ariane pour un gros plan )
Puis le banc de contrainte.
Je suis très joueuse en fait. Là, il faut tenir fermement le manche et tapoter juste un peu.
( Soyez patient, deux images vont se charger. Ensuite, passez la souris sur l'image )
Ariane s'agite dans ses liens. Elle couine un peu aussi...
Doucement, très doucement, je titille le bout du gland. En me surveillant. Car j'oublie vite qui je suis censée être: la faim me vient vite.
Comme je ne veux pas abîmer la pauvre Ariane, j'abandonne la sucette et j'enfourche rapidement le visage cagoulé. Et bien membré.
Mais que fait l'autre à côté ? La fille hurle. Et moi qui me sentais venir...
Il est en train de lui massacrer les seins à coups de cravache. Le ventre aussi.
De plus il a placé un bandeau de plastique sur ses yeux, ce qui fait qu'elle ne peut respirer que par les petits régulateurs d'air. La fille crie, grogne, s'étrangle, s'étouffe.
J'expédie le sadique à terre, l'injurie copieusement: je me considère comme seule autorisée à martyriser les humains. Si je n'étais pas dans le club, je le tuerais.
Rapidement je délivre la pauvrette, ôte le bâillon, le masque et la cagoule...
Hélène ?
Je reste sans voix tandis que la pauvre se jette à mes genoux, me serre les cuisses, me remercie. Je frémis de sa gratitude embarrassante, je frémis de ses seins qui effleurent ma peau, de son souffle sur mon ventre nu. C'est Hélène qui me caresse à nouveau, 100 ans après.
Non bien sur ! Hélène est morte.
Oui je m'appelle Hélène. Merci, merci, merci. Si vous saviez... Je ne voulais pas ça...
Elle veut partir: nous partons. Je l'aide à se déshabiller. Elle enlève corset et combinaison presque avec dégoût, les jette dans sa valisette.
Zut j'ai oublié de prendre une culotte... Tant pis.
Je propose de la raccompagner chez elle.
Non merci. C'est gentil mais j'ai ma voiture garée là-bas.
(cliquez sur le couple pour un gros plan )
Le vent fait des coquineries avec son manteau. Je la sais toute nue dessous et j'ai envie de tout savoir sur cette Hélène.
J'ai aussi très envie d'elle...
(cliquez sur Hélène pour un gros plan )
Pendant qu'elle s'installe au volant de sa voiture, qu'elle réajuste son manteau, je lui tends ma carte.
(Je pratique le massage Bien-être bien sur. Mais qui peut se faire à coups de fouet)
- Venez me voir, vous m'expliquerez tout. Téléphonez moi un peu avant. Tu... Vous me le promettez ?
- Oui... je viendrais, Madame... Agnès ?
Je reste pensive, rêveuse, tandis que cette nouvelle Hélène s'éloigne.
Machinalement j'ouvre le chaton de la broche qui ferme ma cape. Je caresse doucement cette photo d'Hélène prise par un photographe itinérant. Nous avions pouffé de rire quand elle avait posé en tenue d'ange, très dénudée.
Plongée dans ces pensées mélancoliques, je ne l'entends pas venir.
Le Master Wolf.
Pas fière maintenant hein ? Enlève la cape et la ceinture. C'est ta bagnole ? Pas mal... mais J'vais pas t'la voler. C'est toi que je veux.
Je le laisse faire. Je vous l'ai déjà dit, je n'aime pas les révolvers. Mais j'aime ce frisson quand on veut me violenter.
Avance. C'est ma tire
Il me ligote les poignets avec de la corde (que je briserai quand je voudrai), pousse une balle de tennis dans ma bouche (que je crèverais quand je voudrai) qu'il fixe avec de l'adhésif .
Aaaah, t'es moins bavarde maintenant, hein salope ?
Rien à répondre à cela.
Sous la menace du revolver, je monte dans le coffre, m'allonge, pour qu'il puisse attacher mes chevilles.
A plus, ma poule. Nous allons faire un petit voyage toi et moi.
(cliquez sur moi pour un gros plan )
C'est long. très long car j'attends avec impatience la suite des évènements. La voiture pue la crasse et la vieille huile. Je ne sais pas ce que fait le petit master: il s'arrête, descend de voiture, repart... Mis à part cela, je reste très excitée: être attachée ainsi, bâillonnée, kidnappée, à la "merci" de ce pervers.... mmmm.
Soudain je réalise que j'ai laissé Ariane sur le banc de contrainte. Pauvre Ariane. J'espère vraiment que quelqu'un l'aura délivrée.
Mais en attendant, j'aimerai que l'autre se dépêche car je commence à avoir faim. Il s'arrête encore. Mais plus longuemenet. Je comprends ce qu'il cherchait: un endroit tranquille. Je hume l'air... Nous sommes près d'une étendue d'eau, d'une rivière, d'un fleuve... C'est la Saône: j'en reconnais l'odeur. Nous les vampires, avons des sens très développés, c'est indispensable pour la chasse. A cet instant je sais également qu'il a allumé un feu. Un feu ? Il veut me brûler vive ? Ca on me l'a déjà fait et je sais combien c'est désagréable. Pas question.
Enfin il ouvre le coffre.
Alors la pute ? le voyage a été agréable ?
Cet homme est vraiment d'un commerce agréable !
Il me sort péniblement du coffre mais je l'aide un peu en lévitant; il me jette par terre où je tombe... comme une plume; il détache mes bijoux, arrache tous mes vêtements et me pose sur le coffre où il essaye de me sodomiser. Je fais tout mon possible pour m'ouvrir en grand, pour l'aider à me violer, mais il me fait un mal de chien avec son machin mou. Pendant qu'il ahane derrière, je visualise l'endroit où nous sommes. Nous sommes à une dizaine de kilomètres de la ville. je reconnais le lieu: une ancienne raffinerie avec le pont de transbordement. Sinistre à souhait. Comme l'autre n'arrive à rien (je vous passe les jolis noms dont il me qualifie parce qu'il me rend responsable de son impuissance). Evidemment), il me rejette à terre et enfin, les choses intéressantes commencent.
Je le vois qui s'active, qui déplace des choses près du brasier allumé, qui grimpe et qui revient un noeud coulant à la main. Qu'il me passe autour du cou. Ensuite il repart là-bas et s'arc-boute sur l'extrémité de la corde.
Je suis le mouvement en résistant, en geignant et grimpe sur le bidon...
Mmm le moment approche. Bien sur Master truc a envie de manier la cravache.
Trop tard mon cher ! En un instant j'ai arraché les cordes qui me ligotaient les poignets et lancé mes jambes en avant. La corde qui me pendait ne résiste pas et je retombe sur les épaules de l'homme. Je sors mes griffes, et ma main fend l'air, lacère son visage.
L'homme hurle, tombe; je l'accompagne. Mes dents sont plantées dans sa gorge bien avant qu'il ne s'écroule sur le sol.
Maintenant, juché sur le tonneau, bâillonné avec sa cravache, les mains ligotées, tout nu, l'homme est terrorisé. Je tiens fermement son sexe dans ma main. Pourtant il essaye de parler:
- Qui êtes vous ?
- Une vampire bien sur. La plus vieille vampire du monde. Dommage pour toi de m'avoir choisie, moi.
- Qu'allez-vous faire ? Non, aiiiiie... je vais tomber...
- C'est bien mon intention. Et comme je vais te l'arracher, tu vas te vider de ton sang. Et mourir. Réellement. Tu ne deviendras pas un vampire comme je le suis. Tu es trop néfaste pour cela. Adieu très cher, ou au Diable plutôt.
- Non... Je... Non pas çaaaaaAAAAAAAA...
La suite... ? Vous la devinez.
Je récupère mes bijoux, m'habille, très mal, de la chemise de l'homme et monte dans sa voiture. Je n'ai pas un regard pour le futur défunt, Master Wolf, qui s'agite au bout de sa corde.
C'est l'aube et je suis heureuse comme je ne l'ai pas été depuis longtemps.
Jeune Dame, Hélène, puisque tel est votre prénom, j'attends avec impatience votre coup de téléphone.