fleche

 


 

~ Sainte Agnès ~

Hagiographie ou autobiographie ?


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Premières fois : les meubles vivants

- le fauteuil -


- Bonjour... Tu as de nouveau apporté ta valise?

- Non, non, j'arrive du cabinet...

- Des cabinets ?

- Oui, non... enfin c'est là où je travaille.

Eclats de rire.

 

- Voyons ce que tu portes là-dessous. Tiens la Georgette. Mmmm, très joli soie... Des collants ? Je n'aime pas les collants.

- Emmène la Georgette. Dans la salle de bain. Il y a des préparatifs qui sont nécessaires.

 

 

- D'abord le collant. Je n'en veux pas chez moi. Coupe, Georgette.

- Et je ne veux pas non plus de chatte à moustache.

 

 

- Te voici prête. Avec le maquillage d'une petite chatte en chaleur.

( Cliquez sur le visage d'Hélène pour un gros plan )

- Allons, dépêche-toi ! Entre.

- Georgette, qui est une habituée du fauteuil va te montrer son fonctionnement

( Cliquez sur le visage d'Hélène pour un gros plan )

( Cliquez sur le visage d'Hélène pour un gros plan )

- Oui, oui, Georgette décharge beaucoup. C'est bon non ?

( Cliquez sur le visage d'Hélène pour un gros plan )

- A mon tour maintenant. Et applique-toi, petite chatte...

 

- Ouuuuuh.... C'est bon

 

- Oh Agnès... Ce que vous m'avez fait... C'est terrible de n'être plus qu'un objet. C'est fou.

- Onh onh Mais un objet, on se doit de bien l'entretenir.

- ???

- Tu m'as donné du plaisir tout à l'heure. Je vais te le rendre. Au centuple. Allonge toi, petite cochonne toute barbouillée.

( Cliquez sur nos visages pour un gros plan )

- Il est beau non ?

- Oh! Il est trop gros! Il ne va pas rentrer.

- Mais si. Tu es déjà tout ouverte. Tu oublies le plug et le croc de la chaise.

J'avoue que je suis assez sadique avec Hélène en cette fin d'après-midi. Quand je force le vibrateur dans son ventre, Hélène pousse un petit cri. Qui augmente d'intensité quand je mets en route le godemiché. Et qui s'amplifie encore quand les palpeurs entrent en contact avec son clitoris. Je laisse l'engin faire son oeuvre plusieurs minutes puis je le retire brusquement.

- Ooooooh.... Non pas ça. Pas déjà !

- N'aie crainte.

Et j'enfonce de nouveau l'engin. Je recommence ainsi plusieurs fois.

Hélène se débat, se cabre, se tord dans ses liens. Elle râle en permanence maintenant. Je la sais tout prêt du sommet. Quand enfin je la prends, que je la mordille de partout, elle se met à trembler, cambre les reins pour mieux m'accueillir et se rend à la jouissance qui la ravage.

En m'endormant près d'elle, plus tard, je réalise qu'à aucun moment je n'ai eu faim d'elle, de son sang. Pourtant je ne me suis pas privée de lui croquer les seins.

Serait-ce le fait de dominer qui étouffe mes instincts de prédatrice ?

( Cliquez sur nos visages pour un gros plan )

 

 

à suivre...

 
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