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~ Captive au Sous-Sol ~ |
Le Gynecée
Maître baisa son esclave longtemps. Il me permit même de jouir.
Puis, "Il est temps de te faire découvrir ta nouvelle demeure, tes appartements d'esclave"
Maître m'aveugla de nouveau, m'attacha les mains. Je me laissais faire, un peu tremblante. D'appréhension et presque fatiguée d'avoir autant joui.
Quelques pas au bout de la laisse, deux portes ouvertes puis refermées...
et ce fut l'enchantement.
Ma nouvelle demeure d'esclave était grandiose, luxueuse. Il y avait même une piscine.
Il expliqua qu'il l'avait entièrement construite dans la journée, quand j'étais dans le sac.
Tandis qu'Il ôtait mes braceletsl il m'indiquait les différents aménagements, l'armoire aux tenues d'esclave. Je m'étonnais un peu de l'absence de cloisons: "une esclave n'a rien à cacher à son Maître"
- Veux-tu profiter de la piscine ?
- Oui Maître. S'il plait à mon Maître.
Il me tendit une minuscule jupette de tulle. "La tenue de bain d'une esclave" Que j'enfilai après avoir enlever mes bas.
Je tournais sur moi-même, la jupe virevoltant autour de mes hanches, découvrant mes fesses et mon ventre.
Il s'approcha, caressa mon ventre...
... et utilisa son esclave, penchée sur un pouf de velours.
Après que je l'eus bien servi, il me laissa aller.
"Ouh ! Elle est bonne ! Mon Maître ne veut-il pas rejoindre son esclave ?"
" Non. Vas, je te regarde en me reposant un peu "
Je lui souris et plongeai devant lui, la jupe flottant au-dessus de mes hanches.
Après m'être longuement prélassée dans l'eau de la piscine, je sortis et m'approchai de mon Maître qui m'attendait, nu.
Il me fit agenouiller devant lui. Son membre, énorme, semblait vibrer.
Je compris ce qu'il attendait de moi et je commençais à le lécher, à le sucer
Mais rapidemment Il ordonna:
"Ouvre la bouche, esclave"
et Il appuya sur ma tête et força son sexe au plus profond de ma bouche.
Je manquai m'étouffer quand le gland toucha ma luette, je faillis m'étrangler quand mon Maître me fit don de sa semence à moi, Son esclave.
J'avalai tout, extatique, passant ma langue sur mes lèvres pour ne pas en perdre une goutte.
Après...
Il ordonna que je m'allonge et...
il me viola comme un Maître viole une esclave.
Mais après m'avoir véritablement défoncé le ventre, comme le paysan laboure son champ, il entrepris de me donner du plaisir.
Je ne sais pas quand il quitta le gynécée car je dormais, épuisée de toute cette jouissance que mon Maître m'avait accordée.
Quand je me réveillai, cela sentait bon dans la grande pièce.
Maître avait préparé du café et laissé des croissants.
Je trouvai une petite jupe dans l'armoire et dévorai de bon coeur ce petit déjeuner.
Je pris une cigarette, cela faisait si longtemps. Tandis que j'emplissais mes poumons de cette divine fumée, je songeai à ce qui m'arrivait. Moi, Anne, esclave...
Je fouillai dans le réfrigérateur, peu de chose. J'aurais bien aimé préparer un repas somptueux pour mon Maître.
Tant pis. Il ne me restait plus qu'à me préparer pour son retour,
à me faire belle comme une esclave de plaisir.
Pour le plaisir de mon Maître.
Fin de la première partie.