Esclave à vie


Comme esclave travailleuse: caissière dans un supermarché de cet émirat perdu.

Ils vous ont marqué de nouveau au fer rouge, par dessus les anciennes marques: A-M comme Arab-Market.

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Puis ils ont percé vos lèvres intimes pour y glisser deux anneaux de fer et un gros pendentif montrant que vous étiez la propriété du magasin.

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Vous vous souvenez de la tenue que vous deviez porter: blouse transparente aux couleurs du super-marché, qu'il fallait laisser ouverte et justaucorps de résille, ouvert à l'entrecuisse, brodé au sigles du magasin.

Vos mains étaient enchaînées par une courte chaîne, vous étiez attachée par la cheville à votre caisse..

Le travail était dur, épuisant.

Difficile de passer les lourds pack de sodas devant le lecteur laser. Et pas de pause bien sur.


Vous retrouviez presque avec plaisir la caisse où vous étiez enfermée pour la nuit.

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Après la paye. Qui heureusement n'était pas très élevée: juste dix coups de fouets. Et si les affaires de la journée avaient été bonnes, ils pratiquaient une retenue sur salaire: un coup de fouet en moins, cumulable de jour en jour. Mais gare à la faute ! La prime était de cinq coups de fouets. Le soir, il y avait aussi les clients qui avaient gagné au grattage.

Ils pouvaient gagner l'utilisation d'un de vos trous, manière de fidéliser la clientèle.

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Le lendemain recommençait une autre journée.

Nourrissage avec ces croquettes que tous les propriétaires utilisent,

... les besoins dans un seau...

... et la toilette avec une éponge et un grand baquet d'eau froide.

Puis venaient le maquillage, l'habillage...

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... et le plug qui vous fermait et bouchait pour toute la journée.


Au début vous étiez la seule esclave caissière, le magasin venant d'ouvrir. Puis il y eut une nouvelle: une cliente japonaise du super-marché,

enlevée alors qu'elle faisait ses courses.

Elle est restée longtemps dans la caisse, ligotée, cagoulée et bâillonnée, le temps que sa disparition s'oublie.

Vous l'aidiez à manger et la consoliez après la paye.

Qu'elle recevait bien que ne travaillant pas encore.


... à suivre ...