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~ Eros Center~ |
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Un jour l'homme décide qu'elle est suffisamment dressée et qu'il est temps de l'expédier.
Dans un bidon rempli d'un mélange d'eau et de drogue. Hélène est convenablement bouchée et ligotée.
Tandis que l'homme la soulève, qu'il la bascule dans le bidon de métal, Hélène ressent douloureusement le plug qui dilate son anus, le gode qui emplit son vagin et le bâillon qui gonfle ses joues et déforme sa bouche.
L'homme refait le niveau, ...
... ferme le couvercle...
et visse l'opercule.
Seul le tube du bâillon par lequel Hélène peut respirer, dépasse du bidon.
Le voyage a été long. Mais Hélène n'a presque rien ressenti. Il lui semble que son corps, son esprit, que ses sensations se sont dissouts dans la drogue qui la submerge.
Puis tout mouvement cesse, le couvercle se soulève et quelqu'un actionne la poire du bâillon.
Hélène est extraite du bidon, jetée à terre.
Puis aussitôt mise en container. "Pour la nuit, ... " déclare le gros homme.
"... comme les autres androïdes"
Avec juste un petit espace pour qu'elle puisse respirer.
Les préparatifs avant la séance de photos
C'est un robot qui prépare Hélène le lendemain matin.
Qui la tond de nouveau; lui apprend l'usage du collier de punition (utilisé pour les êtres humains),
avant que son propriétaire n'apparaisse, complètement nu, pour les prises de vue destinées au catalogue, au "book".
La séance de photos pour le book
Dans une salle aménagée en studio photo, le propriétaire d'Hélène lui fait prendre la pose:
cuisses largement écartées
taille cambrée, les mains présentant ses seins et la bouche ouverte.
La prise de vue est vite terminée. L'homme s'approche alors d'Hélène. Qui ne peut pas résister quand il l'agrippe, ...
qu'il pose ses lèvres sur celles d'Hélène, qu'il force sa bouche.
Hélène ne résiste pas plus lorsqu'il viole ses reins, ...
lorsqu'il lui présente son sexe: "nettoie ça, salope" ...
( cliquez sur le visage d'Hélène pour un gros plan )
et qu'il l'écrase de son poids pour enfin violer son ventre.
Hélène ferme les yeux pour ne pas voir le monstre qui la force, pour ne pas voir sa propre déchéance.
"Encore une photo. Pour ma collection personnelle. Ma collection de sac à foutre"
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... à suivre ...