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Je l'attends assise sur le rebord du lit. Mini-robe et hautes bottes de cuir. avec de la dentelle rouge en haut de mes bas. Un peu... pétasse ?
Je le suis un peu.
La voici.
Elle pousse son grand chariot, la tête baissée, tenant entre ses dents la chaînettes qui relie les deux pinces de seins.
Elle mime à perfection la gêne cruelle de ses mamelons mordus et étirés par les pinces.
Et elle est bien prise par le gros gode que j'aperçois sous le harnais de cuir qui étreint ses hanches.
J'aime. Je l'envoie épousseter la grande croix. Excuse sournoise.
Je la trouve très belle juchée sur le tabouret, avec son petit plumeau, son petit tablier.
Et quand elle se retourne, m'entendant rentrer dans le donjon, que ce mouvement tiraille ses bouts de seins...
Rapidement je l'attache à la croix mais il me manque quelque chose...
Ce meuble est à moi. Comme je suis une habituée j'ai droit à une personnalisation de ma chambre. Ce meuble pyramidal en fait partie. J'y laisse quelques accessoires.
Dont ce petit martinet.
Mmmm... l'alternance du plumeau et du martinet sur ses tétons distendus et douloureux (enfin pseudo-douloureux, c'est un androïde ne l'oubliez pas! )
Et quand j'enlève les pinces, qu'elle se mord les lèvres pour ne pas crier...
que je caresse ses mamelons meurtris, qu'elle tremble sous mes mains gantées, ...
déjà je n'en puis plus.
Je libère Hélène de ses entraves, de ses plugs (miracle de la bionique, elle mouille! ), ...
et l'entraîne dans la chambre. Une courte fessée m'échauffe encore plus.
Ensuite... Sans commentaire.
Hélène ? C'est un joli nom. Et c'est vrai que ta langue est agile.
Je te louerai de nouveau. Je crois.
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... à suivre...