FBI

Ils entraînent Jennifer vers le studio de prise de vue aménagé en petit parc urbain: de l'herbe artificielle, des bancs des lampadaires et une caninette. Le Collector est là, assis, lisant un journal. Le dresseur attache Jennifer à l'un des lampadaires, celui qui est le plus éloigné de la caninette et disparait du champ. Jennifer reste là, à 4 pattes, à longueur de laisse du Collector sous le feu des projecteurs et les ronronnements des caméras.

Elle a très envie de faire pipi. Elle comprend maintenant pourquoi on l'a fait tant boire. De plus, les deux plugs extrêmement gonflés qui bouchent son sexe et son anus appuient sur sa vessie. Elle tire sur la laisse, se rapproche du Collector, fait la belle, agite ses grelots de seins. Grogne sous la muselière dont le gode intégré lui emplit profondément la bouche. Lui reste impassible.

Elle se fait plus pressante, comme l'envie d'ailleurs. Elle se frotte à ses jambes. Il se lève, lui met un coup de journal. Puis lui flatte la tête. Avec ses pattes, elle touche la braguette de l'homme; elle se retourne, à 4 pattes toujours, elle relève son derrière, lui montre ses orifices bien bouchés, agite le grelot.
Comme il ferait avec un animal le Collector flatte la croupe offerte, puis enfin il dégonfle les plugs, les enlève. Pendant ce temps, Jennifer se trémousse: elle n'en peut plus. Tranquillement, le Collector détache la laisse et la conduit vers la caninette. Où enfin elle peut se laisser aller. Devant les caméras.
Plan final: on ôte la muselière, la cagoule de latex, la perruque rouge. Plan rapproché sur le visage de l' actrice déchue dont la bouche est déformée par le ring-gag qu'elle porte. - Da ! L'est dans boite. Maintenant graver DVD.

à suivre...