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Dans le parking du siège national du F.B.I., Hélène se dirige vers sa voiture. Elle est fatiguée et mécontente d'elle. Elle a échouée dans sa mission: elle n'a pu empêcher l'enlèvement de Monica Galliani. Et sa collègue, qui n'a pas donné de nouvelles ! Hélène sourit un instant "Elle a du se trouver un coquin !" |
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Songeuse, elle se laisse surprendre par les deux hommes qui l'attendaient. Hélène se débat contre l'homme qui plaque un chiffon sur son visage puis elle hurle sous la décharge du tazer et s'évanouit, tétanisée par l'électricité.
Rapidement les deux hommes traînent Hélène vers leur vieille camionnette.
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Quand elle sort de son évanouissement, il est trop tard pour elle: elle est déjà totalement immobilisée, ligotée, bâillonnée, dénudée, son tanga au milieu des cuisses et elle ne peut lutter quand ils l'emballent dans une housse de plastique, qu'ils referment la fermeture éclair, A moitiè... |
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- Ah ! Moi envie bon viol depuis fois l'est dernière. Regarde! Ca l'est autre chose que pipirka décadente occidentale. |
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Elle ne peut pas plus lutter contre la violence qui lui est faite, contre l'intrusion brûtale, contre l'homme qui la viole. |
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Plus loin, sur la route qui mène à la demeure du Collector, ils arrêtent la camionnette au coin d'un bois, sortent Hélène de la housse et l'entrâinent dans la forêt.
- Davaï, davaï ! Viol forestier l'est bon ! |
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Ils ligotent Hélène à un arbre et entreprennent de la peloter.
- Nichon est pas mal. Le trou bien aussi.
Mais Hélène a les cuisses libres et...
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- Ouuuch !
Giiiiffle ! |
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- Baba l'est comme tigresse sibérienne. Baba l'est vicieuse. Kamrad beaucoup mal.
Dommage l'a plou KGB. Moi viol et mettre balle dans tête.
Mais Kamrad Collector veut baba vivante. Obligé faire jolis noeuds pour tenir jambes l'est vicieuses. |
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- Mmm... toi l'es tigresse sibérienne mais toi l'es chaude comme vent la steppe .
Ah ah ah. Avec pipirka dans bouche... l'a plou propagande capitaliste. |
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- A bon viol, l'a bon vodka. L'est proverbe ouzbeck...
Moi bon homme. Je pardonne toi genou dans pipirka. Bois petite prostitoutka. Bois.
C'est bon médicament pour maladie l'est vénérienne. |
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Longtemps ils usent et abusent d'Hélène. Quand enfin les deux hommes la ramènent dans la camionnette et l'enferment de nouveau dans la housse de plastique, Hélène se sent salie, autant physiquement que moralement.
Redonnons maintenant, la parole à Agnès |
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Ils t'ont amenée et jetée dans ma cellule, celle des "cum-bags".
Toi l'as permission détacher elle. Mais l'as grande attention. Après chaîne cheville.
Pas coup l'est fourré ? Sinon toi l'est camisole 5 jours.
Je ne pouvais pas m'approcher plus, ni te tirer plus près.
- Hélène, tu m'entends ?
Tu as grogné quelque chose.
- Essaies de bouger, de ramper vers moi.
Tu l'as fait. A travers le plastique du sac, je t'entendais haleter, geindre, grogner.
Enfin, j'ai pu ouvrir le sac, ôter le bâillon. Tu as inspiré très fort comme après une longue plongée en apnée.
- Ca va aller, on va enlever ces foutus cordes. Les salopards! Là, ça va faire mal. Serre les dents. |
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La corde était profondément incrustée entre tes lèvres. Tu as crié quand je l'ai enfin enlevée. Puis tu t'es effondrée sur le sol capitonné.
J'ai attachée la chaîne comme ils l'avaient ordonné. Je n'avais pas envie de revivre ces cinq jours de camisole et d'aveuglement qu'ils m'avaient infligés quand je m'étais rebellée. |
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Ne me regardez pas. Je suis sale, salie. Ils m'ont... violée.
- Chhhhttt. Repose toi maintenant. Ca va aller. Nous les aurons.
Tu t'es endormie, épuisée. |
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Plus tard tu t'es réveillée. Je t'ai prévenue de ce qui allait se passer. Je t'ai grondée, gentiment mais fermement :
- Ne les provoque pas, laisse toi faire. Tant que nous sommes enchaînées, cela ne sert à rien de se rebeller. Il faut attendre le moment d'inattention. Le viol est une horreur mais dis toi bien qu'ils peuvent faire pire. Je préfère être violée tous les jours ici que de me retrouver dans une caisse, à destination d'un quelconque sultanat. Tant que nous sommes là, il y a un espoir. |
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Puis tu m'as raconté ton enlèvement. Et le coup de genou dans les parties d'un des hommes. Et la gifle qui a suivi, qui t'as presque assommée. Tu étais toute fière.
Tu as ri. Moi aussi.
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Mais peu après, tu t'es adossée contre moi.
- J'ai peur Agnès. Cette violence, cette noirceur. Ces brutes...
- Je sais Hélène. Mais je suis là. Fais moi confiance. Il ne t'arrivera rien... enfin presque rien. |
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