FAMILY
CONFLICTS
Quand
July termina ses études à Paris, elle revint en Arizona.
Quleques temps auparavant, elle avait reçu une lettre qui l'avait
bouleversée. Son père était mort. Elle n'avait
donc plus aucune famille.
Elle
voulait connaître les détails de l'héritage. Elle
ne savait rien là-dessus. Quelqu'un pourrait peut-être
la renseigner.
(cliquez
sur July pour un gros plan)
Quand
elle s'arrêta au ranch isolé, elle fut aggripée
soudainement.
Une
femme qu'elle n'avait jamais vu, attendait en souriant dans la pièce.
July n'en crut pas ses yeux. La femme était presque nue.
La
femme arracha sa blouse, toujours souriante. Elle parlait avec un fort
accent mexicain.
Hello,
July.
Je suis ta belle-mère, Maria.
Tu ne savais pas que ton père s'était remarié
? Voici mon ami, Rod. Il a arrangé un petit accident pour ton
père. Je suis désolée, pas d'héritage pour
toi. Le ranch m'appartient. Et maintenant ces adorables nichons sont
à moi. Egalement.
July
était trop choquée pour dire quoi que ce soit. De quoi
parlait cette femme?
(cliquez
sur July pour un gros plan)
Rod
lécha la figure de July tandis que Maria lui malaxait douloureusement
les seins. Elle était terrifiée.
Que... ? Qu'est ce
vous faites ? Vous me faites mal, je vous en prie !
Rod sourit de toutes ses dents.
Tu sais ce que c'est ? C'est la mouille de ta
belle-mère. J'étais en train de lui faire minette quand
tu nous as interrompus. Personne ne sait que tu es ici. Donc ton cul
est à nous. Compris ?
Maria
baissa le slip de sa belle-fille jusqu'aux genoux.
Voyons
voir quelle sorte de belle-fille tu es.
Maria
sourit et glissa ses doigts entre les lèvres intimes de July.
Elle sursauta lorsque les doigts glissèrent doucement sur son
clitoris.
C'est
une bonne petite belle-fille, dit Maria, appuyant plus fortement
en frottant.
Ne
te débats pas. Bientôt tu prendras l'habitude d'être
baisée par une femme!
July
était estomaquée. Elle regardait, les yeux écarquillés,
Maria qui besognait son clitoris de ses doigts insistants.
Soudain
July réagit.
Vous
me faites mal ! Noon ! Arrêtez s'il vous plait !
Elle était terrifiée et dégoutée à
la fois. Cette femme était en train de mordiller, de tirailler
ses têtons ! July n'avait jamais compris les lesbiennes. Et celle
là était sa nouvelle mère, à ce qu'elle
disait !
M'arrêter
? Pourquoi ? Nous allons avoir du bon temps ensemble, tu sais.
Colle-lui
le bâillon dans la bouche et tire lui les bras en arrière,
ordonna Maria.
Je
veux cette petite putain en position devant moi.
Il
ne faisait aucun doute que Maria dirigeait tout ici.
Maria
palpa les seins opulents.
Mmmm... Tu en as une belle paire de beautés,
ma chérie. Les mamelons semblent très sensibles. Nous
allons avoir du bon temps ensemble...
July
se sentit totalement sans défense lorsqu'elle vit Maria agrafer
une horrible parodie de pénis. Il était en acier inox.
Et il était double. Elle voulut fermer ses cuisses, mais c'était
impossible. Une barre de métal attachée à ses chevilles
la maintenait écartelée.
Bien,
ma chère belle-fille, je pense qu'il est temps de faire plus
ample connaissance. Ta chère mère va te donner un petit
plaisir.
NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONNN!!!
Mets
ton joli petit cul bien en l'air maintenant, dit
Maria, ou je fouette jusqu'au sang tes gros nénés!
July essaya de tourner la tête.
JE VOUS EN PRIE, NOOOOOOONN!!!
dit-elle
d'une voix étouffée.
Maria
plaça le double phallus en position, et donna un brutal coup
de rein, enfonçant les deux pénis de metal dans July.
AAAAAAAAGGHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!!!
Ce n'est rien, dit-elle.
C'est quand ça ressort que
ça fait mal.
Et elle se retira rapidement.
!!!
Attention il y a du son avec l'animation Flash !!!
AAAAAAAAAAGGGHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!!!
July hurla quand les choses déchirèrent son ventre.
Roy
pris la tête de July entre ses mains. C'est
un triplé, July, dit-il dans un rictus.
Impuissante, ne put l'empêcher de forcer son membre noueux dans
sa bouche béante.
Tu peux pas sucer, aboya Rod, mais
tu peux utiliser ta langue sur le gland! Remue-toi putain de bonne à
rien!
Roy
enfonça profondément son pénis dans la gorge de
July. Et bientôt il se mit à grogner. Enfin il se rejeta
en arrière et déchargea dans la bouche et dans sa gorge.
July faillit se trouver mal.
Tu
es à moi maintenant, comme la fortune de ton père,
dit Maria.
Tu
ne dois pas oublier ça. Ceci va t'aider à t'en souvenir.
Chaque partie de toi, tes nichons, ta chatte, ta bouche, tout m'appartient.
Ce joli petit cul aussi. Et je vais le marquer.
Tu
n'es que du bétail maintenant. Ton seul but dans la vie est de
lécher, sucer et de te faire foutre...
AAAAAAAAAAAGHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!!!
Le hurlement de July résonna dans la cave. Il y eut une sinistre
odeur de viande brûlée. Elle hurla encore et encore tandis
que sa belle-mère maintenait le fer rouge sur sa fesse gauche.
Tu
vas rester comme ça toute la nuit, pour bien sentir ma marque.
Pour bien y réfléchir. Demain matin Rod viendra te violer.
July
passa le pire moment de sa vie dans cette position, incapable de calmer
les crampes dans ses bras et ses jambes.
(cliquez
sur le visage de July pour un gros plan)
Au matin, Rod descendit et la retourna, pour l'accrocher par les poignets
et les chevilles.
Voyons voir à quoi ressemble ta moule!
Vas-tu bouger, chienne ? Tortille du cul ! C'est mieux, sers moi la
queue, oui...
Maria
resta à regarder pendant un moment, puis elle n'y tint plus.
Elle avait la chatte en feu. La fille était superbe, suspendue
ainsi, la tête en bas, ne demandant qu'à lécher.
Elle retira le bâillon de la bouche de July.
Je
vous en supplie, laissez moi partir,
implora July.
Je n'en peux plus. Je vous prie!
(cliquez
sur le visage de July pour un gros plan)
Maria
lui coupa la parole en se posant sur son visage. La bouche de July était
toujours ouverte. Elle avait les muscles tétanisés, qui
l'empêchait de la refermer.
Suce
moi ! Suce ta Maîtresse, esclave, dit
Maria, levant les yeux au ciel de plaisir.
Frotte ta langue sur mon clito! Et fais
du bruit! Je veux t'entendre sucer!
SUCK!
SLURP!
July
suça et inséra sa langue dans le vagin de Maria jusqu'à
ce que celle-ci pousse un cri sourd et se penche vers l'avant, jouissant
encore et encore, prise de tremblements de plaisir sur la bouche et
le nez de July.
Quand
elle eut terminé, Maria obligea la pauvre fille à lécher
la cyprine abondante qui avait coulé sur le sol.
Tu
es une belle salope, July. Tu excites mon mari. Ce n'est pas très
poli. Non ?
Lèche ça! Je n'aime pas les salopes comme toi baisant
mon mari nuit et jour. Tu me rapporteras plus en argent liquide. Je
vais te vendre au plus haut offrant. Il y a plein de baiseurs de bétail
autour d'ici qui seront content de changer d'animal !
La
voici, Mesdames et Messieurs! Ma propre fille, ou presque! Une moule
bien large et baveuse. Des gros nichons bien plantés. Et une
bouche qui suce beaucoup mieux que la langue d'une anesse!
Maria,
peu à peu, découpa les lanières du bustier de July,
déchira sa jupe.
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July
ferma les yeux. Elle ne portait plus que ses bas maintenant. Et ces
hautes sandales.
(cliquez
sur July pour un gros plan)
Elle
se sentait nue. Quels droits avaient ces gens de voir les parties les
plus intimes de son corps ?
Il
n'y a pas d'espoir se dit July. Elle n'était plus qu'un jouet
sexuel. Elle frissonna de peur et de dégoût. Sa bouche,
sa langue, ses seins, son vagin, tout son corps, allaient bientôt
appartenir à quelqu'un d'autre et seraient bientôt remplis
du sperme d'un étranger, encore et encore.
Ecarte
les cuisses, montre leur qu'ils en auront pour leur argent! Fais la
tourner, Maria. Que l'on voit bien son cul.
Fais la danser !
Maria
repoussa l'un des bidons et July perdit l'équilibre, se retrouva
accrochée au bout de la corde qui l'étranglait peu à
peu.
Maria
saisit la cuisse de July qui râlait, la gorge broyée par
la corde de chanvre.
Voyez
la marque: S comme SLUT ou comme SALOPE, ou comme SLAVE !
(cliquez
sur July pour un gros plan)
(c'est
une image survolée, soyez patient)
Voyez
comme elle frétille bien
Des
rires secouèrent la foule.
"
Descend la un peu qu'on l'essaye "
Arrrrrrr!!!!!
(cliquez
sur July pour un gros plan)
Chacun des hommes prit son plaisir dans le ventre de July, toujours
pendue au bout de la corde, tandis que peu à peu un voile sombre
obscurcissait son esprit.
FIN
DE L'HISTOIRE DE STEVE
...
à suivre ...
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