" Le mannequin prisonnier "

de Geoffrey Merrick

( Illustrations et traduction de Agnès )


"Rien à déclarer ?" questionna le douanier.

"Non, Monsieur" répondit doucement la femme dans la voiture.

Le Procurer observait attentivement les alentours à travers ses jumelles alors qu'ils étaient activement recherchés. Tous les ports, tous les aéroports et toutes les gares avaient été alertés de la disparition d'une jeune femme... Malgré l'urgence de la situation, les avis de recherche étaient classés secret prioritaire et ne mentionnaient pas qui avait disparu.

"N'aimeraient-ils pas savoir ?" grommela-t-il, posant son regard sur Michelle Mureau, agenouillée malgré sa volonté, aux pieds du Procurer, contre un arbre.

Ses genoux seuls étaient à terre, alors que ses bras et ses jambes étaient tirés en arrière autour du tronc, ses chevilles sanglées ensemble et ses pignets attachés aux chevilles. Un collier plastique était fermement serré autour de sa taille fine et un autre était passé juste en dessous de ses machoires lui maintenant la tête droite sans lui couper la respiration.

Elle portait un soutien-gorge de vinyl noir à armature et un string très échancré. Ses pieds mignons étaient chaussés de sandales noires à brides avec des talons aiguille de 10 centimètres de hauteur.



Son visage qui dodelinait et sa poitrine haletante était couvert de sperme, qui jaillissait de la bite sortie, régulièrement, sans même qu'il se touche.
"C'est notre promenade" murmura-t-il, en regardant de nouveau dans les jumelles alors que son vit semblait attiré par le visage épuisé et dégoulinant de Michelle.

Il l'avait tirée de la voiture à quelque distance du port. Pendant que la femme partait en avant, il l'avait violée de nouveau, dans un fossé cette fois-ci, alors que les voitures passaient à quelques mètres de l'eux, se dépêchant pour attrapper le ferry. Comme elle gémissait et miaulait d'incrédulité, écrasée sous son poids, qu'elle ne pouvait agiter ses mains ou ses pieds suffisament haut pour être aperçu de la route, il vint en elle de nouveau.



Puis, attendant une un temps mort dans le traffic automobile, il la tira dans un bosquet, la rhabilla et porta la forme à peine consciente vers une colline boisée qui dominait le port. Là, il l'avait attachée à l'arbre et recommencé à l'asperger de sperme.

Depuis la lune s'était levée, les tampons dans son nez avaient séchés mais le choc du kidnapping avait remplacé l'effet du sédatif. Elle ne rendit même pas compte que le Procurer lui nettoyait soigneusement le visage et la poitrine, essuyant tout le sperme maculant sa peau.

Ce ne fut qu'en entendant des bruits de pas qu'elle reprit pleinement conscience, se redressant autant qu'elle le pouvait, ses grands yeux bleu-vert agrandis d'espoir et d'attente.

Trois douaniers en uniforme sont sortis des buissons. Michelle a essayé de les appeller, s'agitant de soulagement. Mais l'espoir est vite retombé quand elle les a vu s'approcher tranquillement.

"C'est elle", a soufflé l'un d'eux " C'est bien elle..."

"Je vous l'avais dit" a répondu son violeur. "Je ne ments pas"

"Pourquoi est-ce qu'elle ne crie pas ?" a demandé un autre.

"Elle ne peut pas" a répondu le violeur. "Nous avons bouché sa bouche. Et collé ses lèvres"

"Vraiment ?" a rétorqué le troisième, un officier au vu de son attitude et de ses épaulettes.

Il s'agenouilla devant la jeune femme hébétée, vérifiant ses lèvres comme on examine une jument rétive.

"En effet, elle ne peut vraiment pas les ouvrir. Qu'utilez vous ?"

"Un adhésif chirurgical" a répondu le Procurer. "On va passer toute la nuit ici ou vous acceptez le pot de vin ?"

L'officier se redressa, regardant les autres dans l'obscurité. Puis il déboucla sa ceinture et ouvrit sa braguette.

Michelle, enfin, voulut hurler, mais son violeur s'agenouilla calmement derrière elle avec un dissolvant chirurgical dans une main et un énorme bâillon-anneau dans l'autre. Sa jolie bouche était si faible d'avoir été si longtemps distendue par la boule spéciale, que la remplacer par le bâillon-anneau se fit sans problème. Les yeux de Michelle semblèrent lui sortirent de la tête quand il serra la courroie derrière la tête, distendant les machoires, lui maintenant la bouche béante.


Puis les colliers de plastiques furent coupés, mais elle ne pouvait contrôler ses membres affaiblis. Aussi le kidnappeur et les trois douaniers eurent vite fait de rattacher ses poignets à ses chevilles, avant de l'allonger précautionneusement sur le dos.

Et d'arracher ses dessous.



Chaque homme prit son tour, dans sa chatte, ses nichons et sa bouche maintenue grande ouverte par l'anneau tandis que le Procurer allait s'asseoir contre l'arbre, jouant avec la boule qui avait été dans la bouche de Michelle.

Dans un concert de grognements et de hurlements animaux, ils la violèrent furieusement, se branlèrent entre ses nichons et déchargèrent dans sa bouche, s'amusant de ses mouvements de répulsion et de son humiliation.

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Puis la retournant sur l'estomac, chaque homme utilisa son cul, pendant qu'un autre forçait sa tête sur son érection, et que le troisième coinçait sa bite dans une des mains de Michelle. Se faisant tailler une pipe en soulevant et abaissant sa tête, pendant que l'autre se branlait entre ses doigts ou entre ses chevilles et poignets ligotés, ils crachèrent encore plus de foutre en elle et sur elle. A la fin, chaque homme s'étant vidé trois fois en elle, ils se masturbèrent au-dessus du corps tremblant et gémissant.

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"Vous avez besoin d'un coup de main ?" demanda l'un des douanier avec espoir.

"Non" répondit le Procurer, atatchant les chevilles ensemble en faisant une boucle pour servir de poignée. "Tout est arrangé"

Ils la tirèrent vers le bateau sous le nez des douaniers à 2 heure du matin - la boule de nouveau dans la bouche et ses lèvres de nouveau collées. La jetant sur une couchette dans la cabine, il rampa entre ses cuisses ligotées, malaxa ses seins et la baisa sur le "sol anglais", tandis que the Bitch pilotais de mains de maître le bateau vers sa destination.

Plus tard, de l'autre côté de la Manche, il transporta son corps frissonnant vers une voiture qui attendait au bout du quai privé. Là, the Bitch habilla Michelle avec un adorable petit ensemble de satin blanc- non sans avoir rajouté du ruban adhésif blanc sur sa bouche, ses poignets et ses chevilles déjà sanglées- avant de prendre le volant.