"
Le mannequin prisonnier "
de Geoffrey Merrick
( Illustrations et traduction de Agnès )
Même dans son état, Michelle ne put que frissonner en découvrant le mobilier. Un lit de bronze boulonné dans le sol. Un carcan de bois. Un pal. Des fers accrochés aux murs, au sol, au plafond. Une croix de Saint-André. Une croix de métal. Des chaises de contraintes avec des pénis d'acier, de bois, de caoutchouc. Un mobilier d'hopital avec des courroies et le matériel d'électrochoc. Des sangles, des menottes et des vêtements partout.
En dehors du donjon, les deux assistantes avaient débarassé
Denise, Kerrie, and Stacy de leur corset mais ce qui les remplaça était
pire encore. Une sangle de caoutchouc écrasait leur poitrine. Des godes
de trente centimètres furent forcés dans leur chatte et attachés
entre leurs cuisses. Puis leurs genoux et leurs coudes furent liés
et leurs poignets accrochés, haut, derrière elles au plafond.
Penchées en avant, se débattant et pleurant, leurs hauts talons
griffaient le sol comme des juments harnachées.
“Vos gueules les putains” cracha l'une des assistantes tandis
qu'elle forçait un penis de caoutchouc dans la bouche de chacune des
pauvres filles, bâillonnées d'un anneau, verrouillant l'appareillage
avec une courroie. " Vous êtes mieux ici qu'à côté,
avec l'autre salope"
Les préparatifs pour la prochaine scène étaient en cours,
bien que tous savaient que Michelle avait été près d'exploser
sous les mains vengeresses de la femme de l'agence de modèles. Le moins
bien dôté, l'asiatique, gagna au cours d'une enchère enfievrée,
sachant que c'était sa seule chance de se satisfaire.
Les cheveux nettoyés, le corps lavé, Michelle fut hetée
sur le lit, ses poignets attachés dans le dos à la taille, ses
chevilles toujours entravées. L'asiatique rampa entre ses cuisses,
s'enfonça en elle et entreprit de la baiser, alors qu'elle s'agitait
et se secouait pour se libérer aussi bien physiquement que sexuelleemnt.
En vain. Les essais pathétiques de l'asiatique ne parvinrent pas à
l'embraser.
Sanglotant de honte, contorsionnant tous ses muscles, s'étranglant,
Michelle était déchirée par le petit homme frustré
dont les mains, finallement, avaient agrippé le cou de Michelle. Les
autres regardaient, fascinés, le corps de Michelle se raidir et son
visage rougir puis devenir cireux.
C'est alors qu'une voix grave aboya, " Ca suffit !" et que le kidnapper
donna un coup sec sur les mains de l'asiatique et le balança loin de
Michelle comme on jete une marionnette. Sa petite bite sortit de Michelle
avec un petit bruit de bouchon alors qu'elle toussait et s'étranglait.
Le petit homme toussait lui aussi, s'étranglait jusqu'à ce que
le jeune homme aux cheveux hérissés le prenne à part
en lui assurant que "tout était parfait, vraiment parfait"
Puis il porta un sifflet doré à ses lèvres et souffla dedans, sans un bruit.
Sous les yeux émerveillés des spectateurs, trois petits chiens blancs apparurent dans la pièce en coup de vent. Sautant sur le lit dans une formation impeccable, deux d'entre eux se disposèrent de part et d'autre de la poitrine de Michelle et le museau du troisième vint se glisser entre ses cuisses. Poussant des cris aigus, Michelle, se cabra, se tordit pour échapper à leur petites dents pointues et à leur langue humide et rappeuse.
Les spectateurs regardèrent, abasourdis, le ballet des petits chiens
jusqu'à ce que le jeune homme demande " Bien. Qui tient les pieds
?"
Les hommes s'avancèrent, saisissant ses chevilles et les écartant
au maximum. Le kidnappeur fit le tour du lit et aggrippant une poignée
des cheveux dorés de Michelle lui maintint la tête sur l'oreiller.
" Okay," dit l'hôte. " Regardez bien !. Brandy, Scotch,
Vodka? Allez.”
C'était le mot de code. Les petits chiens s'activèrent aussitôt
sur les seins et la fente comme des hypermachines.Celui entre ses jambes poussa
sa truffe, ses petites dents et sa longue langue presque entièrement
dans la fille qui se débattait.
Les hommes regardèrent, captivés les têtons de Michelle
durcirent et gonfler, sa peau se perler de gouttes de sueur puis rougir, ses
cuisses se tendre tandis qu'elle commençait à gémir puis
à pleurer, sa tête tirée en arrière et ses yeux
désespérement fermés.
Quand elle vint, elle échappa pratiquement à leurs poigne, se
scalpa presque elle-même. Mais, malgré ses cris et ses mouvements,
ils la tenaient... et les chiens ne ralentirent pas.
" Okay," dit l'hôte calmement. "Allez" et il aboya
"Titan, Trigger, Tango. Au pied."
Deux pitbulls et un rottweiler entrèrent. Les petits chiens sautèrent
du lit et sortirent tandis qu'un pitbull s'approcha de la gorge de Michelle,
serra précautionneusement le cou dans sa gueule sans que les dents
n'égratigne la peau.
Les yeux de Michelle s'arrondirent.
L'autre pitbull se glissa sous sa elle, soulevant ses hanches.
Les yeux
bleu-vert miélés d'or s'agrandirent d'étonnement et d'horreur.
Le rottweiler plaça ses pattes sur les côtés de sa taille
menue et plaqua son arrière-train contre sa chatte.
Michelle hurla quand l'assistant sangla lestement et fermement
ses chevilles aux pieds du lit. Puis elle fut obligée de se regarder
elle-même, violée par le chien.
En dehors du donjon, l'homme d'affaire violentait l'étudiante, la propriétaire
de l'agence caressait la serveuse et l'asiate bavait sur les seins de la blonde
humiliée, mais à l'intérieur les autres regardaient la
"Plus Belle Fille du Monde" montée par un rottweiler bien
dressé et étonnament bien membré, sa gorge tenue par
un pitbull et ses hanches soulevées par un autre.
Puis le kidnappeur approcha sa main pour la poser sur la poitrine opulente.
Tandis que le chien continuait à follement aller et venir, il ressera
doucement sa main et commença à tordre. La main de la Bitch
fit de même.Le chien qui tenait son cou gracile dans sa gueule ne bougeait
pas, regardant d'un oeil leurs mains qui malaxaient la poitrine de Michelle.
Le spectacle était extraordinaire, de voir les os et les muscles de Michelle se tendre et les expressions d'horreur sur son visage défait changeait sans cesse. De l'incomprehension d'abord, de la confusion puis la prise de conscience, ensuite le refus puis la conscience totale, le supplice, l'humiliation et enfin le dégoût -- quand les spectateurs comme sur un signal silencieux, ouvrirent leur braguette et commenèrent à se masturber tout autour d'elle.
Souriant, ses yeux sombres luisant, l'hôte leva une main. Il n'avait
pas besoin de dire quoique ce soit. Tous savait ce que voulait dire cette
main levée...
Pendant
quelques instants, les seuls bruits dans la pièce furent de la chair
contre de la chair, des mains sur des pines, des mains pelotant des seins,
le pénis du chien comme un piston dans son ventre... puis la voix calme
de l'hôte "Tango...?"
Sa main retomba "...Viens" Le chien éjacula en elle. Tous
les autres déchargèrent sur son visage, sur sa poitrine, sur
son ventre, sur ses cuisses et ses jambes. Michelle cria de frustration, ruant
et se tordant de douleur. Mais ils ne firent que rire et se jeter sur elle,
les chiens s'eclipsant rapidement.