" Le mannequin prisonnier "

de Geoffrey Merrick

( Illustrations et traduction de Agnès )


La suite de la période d'essai fut asssez confuse, pour tout le monde. Michelle fut suspendue horizontalement, le dos vers le sol, ses bras et ses jambes écartelés, la taille soutenue par une courroie. Là, tout le monde put pelotter ses seins et venir dans sa chatte tiède et humide, toujours serrée, palpitante.



Assise sur le billot, les mains menottées sur le côté (ce qui la faisait pencher légèrement en avant), chacun eut la chance de tripoter ses nichons et de venir dans sa jolie bouche rubis (écartelée par un écarteur de dentiste) tout en l'aggrippant par ses cheveux de soie.



Mais tout a une fin et les assistants de l'hôte l'entraînèrent pour laver sa figure et son corps, maculés, tachés et trempés de foutre. Elle fut vidée, nettoyée et préparée. Il y eut même un début d'enchères pour la boule spéciale qui avait été enlevée depuis quelques temps.

Puis tous se retirèrent vers le lieu des enchères où Denise, Kerrie, et Stacy attendaient, ligotées et bâillonnées dans de perverses copies de leurs vêtements de travail.

La rousse portait micro mini-robe de vinyl noir avec un profond décolleté et de la dentelle blanche mousseuse,

des bas résilles et de vicieux escarpins à bride avec un talons de 15 centimètres. Ses bras étaient liés derrière son dos avec du fil métallique noir ainsi que ses chevilles croisées. Dans sa bouche on avait enfoncé un bâillon-gode de cuir noir.

 


La blonde avait été habillée d'une micro-mini jupe, d'un chemisier blanc et amidonné, ouvert sur un soutien-gorge noir qui pigeonnait ses seins, des bas autofixant couleur chair,

et de sévères escarpins à bride aux talons de 15 centimètres. Elle était ligottée et bâillonnée avec du ruban adhésif argenté.