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~ Sainte Agnès ~
Hagiographie ou autobiographie ?
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Hélène,nouveau jouet sexuel de la maison Glück
Le soir
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~ Sainte Agnès ~ Hagiographie ou autobiographie ?
Hélène,nouveau jouet sexuel de la maison Glück Le soir |
| Après avoir parcouru des couloirs sans fin, descendu des escaliers interminables, pris un ascenseur, Hélène fut emmenée dans "sa chambre" ainsi que l'homme nommait cette petite pièce au sous-sol, une pièce qui bien que propre et confortable, était bien un cachot, fermé par une lourde porte métallique. |
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- Je voudrais aller au... petit coin - Pas de problème, c'est à côté. Faudra prendre tes précautions. Le soir et pendant la toilette du matin. |
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- Je... vous allez rester là ? - Bien sur. Une belle poulette comme toi n'a rien à cacher. |
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Cela prit du temps. Hélène était honteuse et même si elle avait terriblement envie, elle était complètement bloquée par le regard concupiscent de l'homme. |
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Quand Hélène eut terminé, l 'homme la ramena dans la "chambre". - Tu as de quoi t'habiller sur le lit. Et de quoi te faire belle. De belles lèvres bien rouges. Et les yeux bien maquillés. Et je veux voir ta nuque. Attache tes cheveux. Je vais chercher à manger. On va se faire un petit diner en amoureux. En amoureux ? songeait Hélène. M'habiller ? Cette nuisette est ultra courte. Et transparente. Alors Hélène obéit. Elle savait ce que signifiait le "diner en amoureux". Mais qu'importait. Il valait mieux se faire violer, que de se faire torturer.
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- Pas grand chose en cuisine, une pizza. Mais c'est bon la pizza. Et j'ai apporté une bonne bouteille. Tu la coupes ? N'y pense pas. Au couteau. Tu ne me feras pas d'mal. C'est toi qui auras mal. Après. |
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- Tu peux te servir. Et manger. A genou devant moi. Cuisses bien écartées. Je veux voir ta chatte. Pendant que je mange. |
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| - Je dois t'enchaîner pour la nuit. C'est la règle. |  |
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- Voyons voir... - Tu aimes ça, hein ? |
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| Non, Hélène n'"aimait pas ça". Mais l'homme, à force de palpations, de pincements réussit à ériger ses bouts de seins. Un effet purement mécanique. | ||
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Non Hélène n'aimait pas ça. Pas plus qu'elle n'aima ça, quand il s'enfonça en elle et commença à la besogner. Hélène cria. Ce n'était pas de plaisir. Elle n'aimait pas ça: elle avait mal, simplement. Elle était toute sèche et malgré que l'homme ait enduit son membre énorme de salive, Hélène gémit de cette invasion brutale, Quelques minutes, plus tard, tandis que l'homme se rhabillait, qu'il lui adressait des reproches: |
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- La prochaine fois il faudra remuer ton p'tit cul un peu plus que ça. Mais bon, c'est la première fois. On s'connait pas encore. La prochaine fois ? Bien sur qu'il y aura d'autres fois, songeait Hélène. Agnès pourrait me sortir de ce cauchemar. Si elle n'était réduite à l'impuissance. Puis Hélène se dit qu'elle n'était qu'une égoïste. Je n'ai eu qu'à écarter les cuisses, alors que ma pauvre Agnès... |
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L'homme recouvrit Hélène d'un drap, disposa une couverture et : - Bonne nuit, ma poulette. Dors bien. Demain, tu n'auras pas grand chose à faire. |
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Et l'homme verrouilla la lourde porte. Hélène écouta. Les pas de l'homme s'éloignaient, il montait les escaliers, puis une porte se ferma dans un bruit mat. Parti ! , songea Hélène. Elle se tourna, se retourna, cherchant une position qui n'était pas trop inconfortable, puis Hélène s'endormit soudain dans un mauvais sommeil. |
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à suivre...
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