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~ Sainte Agnès ~ Hagiographie ou autobiographie ? |
C'est donc le soir, quand ils me sortent enfin du caisson. Mon esprit est embrumé du poison qui a pénétré mon corps. Totalement affaiblie je me laisse harnachée sans résister. Le corset d'acier pénètre mes chairs ramollies par le bain prolongé. D'autant plus qu'un croc enfoncé profondément dans mon anus me cambre exagérèment. Et c'est juchée sur des bottes d'acier, titubant sur la pointe des pieds, tractée par la laisse passée dans les anneaux qui percent mes lèvres intimes que je quitte le laboratoire... la salle de torture.
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- Avance. Dépèche toi. Le Maître attend.
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- Attends Gert. N'appuie pas tout de suite sur le bouton. Elle va nous faire une gâterie |
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Tant que je marchais sur le béton cela allait. Mais quand nous arrivons sur le plancher ciré comme un miroir des appartements du professeur, cela de vient dramatique. Je glisse plusieurs fois et tombe lourdement. Se relever est une galère. Et les deux salopards de me cravacher, de tirer sur la laisse malgré mes supplications déformées par le bâillon. - Vas tu te relever, salope ? |
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- La voici Professeur. - Enfin... Vous avez été bien longue ma chère. |
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- Voyons ce vous valez... - Grmmfff Je fais quand il force son sexe dans ma bouche. Je manque de vomir quand le gland touche le fond de ma gorge. Tandis qu'il bouge ma tête pour se branler, j'entends comme un sifflement assourdissant: c'est ma respiration à travers mes narines presque closes par l'anneau de contrainte. Puis les gardes me placent sur une sorte de... support, les jambes écartelées et quittent le grand salon. Je reste là immobilée, incapable de bouger la tête, de voir ce qui se passe derrière moi, la langue de nouveau crochetée. Assis sur un vaste canapé, Van Glück bavarde:
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- Oui ma chère, quand j'en aurais terminé avec vous, vous finirez ainsi. Comme cette table basse, ou comme la statue dans le grand escalier. J'ai mis au point une technique qui permet d'immobiliser à jamais un vampire. En plongeant le vampire dans un bain de métal en fusion. Un alliage de ma composition. Le corps reste souple et on peut le mettre facilement dans la position désirée. Mais celle ou celui qui est enfermé dans cette gangue de métal ne peut pas bouger. Cela fait de bien belles pièces décoratives.
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- Ah voici votre amie. Approchez Hélène. |
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Hélène ! Elle est là. Bien vivante. Ils ne l'ont pas tuée... Elle semble en bonne santé bien que bizarement accoutrée. Comme sur le tableau. - Montrez vous... Bien. Enlevez la nuisette et le slip. Et allez vous asseoir sur le pouf.
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- Ecartez les cuisses... Encore. Que l'on vous voit bien. |
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- Je ne saurais vous imposer la fumée de mon cigare. Je l'éteinds. Il l'éteind oui. En l'écrasant sur mes fesses. Je fais un bon en criant. - Et maintenant, ma chère Hélène, mouillez bien. Que je ne blesse pas notre chère amie commune. |
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Pour qu'il ne me blesse pas ! Quel faux-cul ! Je passe sur ce qui s'ensuit... et sur la suite de la soirée où le bâtard nous a violées chacune notre tour. |