Van Glück, pourtant, me nourrissait. Un peu. Il se devait de me conserver en vie pour ces horribles expériences.
Et c'était Hélène, ma douce Hélène, qui était chargée de cela.
Une fois par ... ? semaine peut être, ils m'enchaînaient dans une des cages d'acier et ils faisaient venir Hélène.
Elle pleurait de me voir ainsi. "Oh Agnès... Oh Agnès !"
Mon Aimée. |