UNCLE SILAS
Margaret
avait toujours eu un peu peur de son oncle écossais, Silas. Il
leur rendait visite une fois par an quand le père de Margaret
était encore en vie, faisant le long voyage vers Londres. Il
n'était jamais le bienvenu. Son père ne s'entendait pas
avec son beau-frère écossais mais il ne lui avait jamais
refusé l'hospitalité.
Silas
était un homme sévère, sérieux intransigeant
de caractère. Il était connu, même dans sa communauté
rural pour la rigueur de son calvinisme, pensant qu'il était
né pour aller au paradis et que les autres, à quelques
exceptions près, iraient certainement en enfer.
Le
père de Margaret avait toujours supposé que les visites
de Silas avaient quelques choses à voir avec les plaisirs de
la chair qu'il trouvait auprès des prostituées de Soho.
Il soupçonnait aussi que l'homme éprouvait un intérêt
malsain pour Margaret alors qu'elle devenait une jeune fille pleine
de santé et que ses formes s'épanouissaient.
Margaret
ne l'aimait pas non plus. Sans trop savoir pourquoi. Quand son père
n'était pas là, il avait parfois des commentaires déplacés
sur sa beauté, sur son corps.
Elle
n'avait jamais parlé de cela à son père pour ne
pas le tracasser. En fait elle haïssait Oncle Silas pour son caractère
stricte, sans humour, et elle avait peur de lui, de son regard pénétrant.
Elle ne savait jamais ce qu'il pensait. Mais il semblait la déshabiller
du regard, ôtant sans vergogne sa robe, sa camisole, ses dessous
les plus intimes. En sa présence, elle se sentait nue parce qu'elle
savait qu'il la voyait nue.
La
tragedie frappa son existence lorsque son père mourut. Il avait
fait un testament quinze ans plus tôt quand elle était
encore une petite fille. Elle était sa seule héritière.
Il n'y avait pas d'autre famille et quand Oncle silas demanda à
être son tuteur légal, le juge n'y trouva rien à
redire. A l'age de 18 ans, Margaret se retrouva immensément riche
mais liée par la loi pour 3 ans à cet oncle qu'elle détestait
et qui avait toute autorité légale sur elle.
Oncle
Silas lui parla immédiatemment après les funérailles.
En tant que tuteur, il avait décidé de l'éloigner
de la vie corrompue de Londres. De l'emmener avec lui en Ecosse. L'air
sain des Cairngorms serait bon pour elle. Il prendrait soin de son éducation
lui même. Margaret se mordit les lèvres nerveusement mais
ne protesta pas.
Oncle
Silas ferma la maison de Londres et renvoya le personnel. Elle n'aurait
besoin de personne. Il avait ses propres domestiques.
Le
premier jour chez Oncle Silas commença mal.
Margaret
n'aimait pas la femme de chambre avec ses cheveux sévèrement
brossés en arrière. La femme ne souriait jamais. Ce n'était
pas normal. Etait-ce là l'éducation moral, qui rodait
comme un fantôme ?
La
douleur du deuil, le long voyage et l'atmosphère opressante du
vieux manoir avaient mis les nerfs de Margaret à vif. Elle n'avait
jamais été très patiente mais ce matin-là
elle était irritable.
"Dépêche
toi femme! On se gèle!" aboya Margaret."Je vais mourir
de pneumonie! N'y a-t-il pas de chauffage en Ecosse ?"
"Seulement
quand il fait froid, Mademoiselle. Le Maître n'allumera les cheminées
que lorsqu'il y aura de la neige"
"Dépêche
toi de m'habiller, pour l'amour de Dieu!"
"Bonjour
Margaret ! Je dois vous mettre en garde de ne jamais prononcer en
vain le nom du Seigneur. Vous serez punie pour cela. Le Seigneur vous
a accordé une jolie poitrine. Vous devriez lui en être
reconnaissante. En ce qui concerne le froid, vous vous y habituerez.
Vous vous réchaufferez, avec ou sans vêtements. Viens
avec moi"
"Que
voulez vous dire, Uncle Silas ?... Quel est cet endroit ?"
"Tes
appartements Margaret. C'est ta nouvelle chambre !"
"De
quoi parlez vous... Vous me faites mal ? Lachez-moi !!"
"Permets
moi de te présenter Jamie. Elle est à toi Jamie. Une
vilaine enfant gâtée, qui jure sur le nom du Seigneur
! Pour son bien, elle doit apprendre le respect et l'obéissance
! "
"Vous
ne pouvez pas faire ça ! Tout le monde sait que je suis ici
! Tous mes amis de Londres !"
"Ta
gueule ! Si le Maître dit de te punir, ça m'suffit. Déshabille
la, Fiona !"
"Vous
ne pouvez pas faire ça... Vous êtes fous !"
"Le
Maître veut que tu sois punie et bien punie. C'est tout !"
"Mais
vous devez l'en empêchez ! Appelez la police! C'est un enlèvement
!"
"L'empêcher
? Moi ? Tu rigoles !"
La
servante arracha le jupon et la camisole de Margaret.
Elle
resta là, frissonnant dans la cave glacée. Comme l'air
froid glissait sur ses fesses dénudées, elle fut prise
de tremblements. Ses têtons se dresssèrent, durcirent.
Jamie
la regarda avidemment, ses yeux détaillant de haut en bas son
jeune corps menu. Il était un peu surpris de sa poitrine ronde
et pleine et de ses fesses bien fermes.
Jamie
n'était pas payé pour ce travail. Mais il avait sa chambre
et toute la nourriture et toute la boisson qu'il voulait. Et il avait
les filles qu'il voulait. La Maître les ramenait de Londres,
avec la promesse d'un travail et de gages. C'était en général
des prostituées de Londres. A peine arrivées à
une fausse adresse, elles étaient enlevées et amenées
ici. Où elle étaient dénudées et fouettées
pour leurs péchers.
Jamie
ne savait ce qu'il advenait d'elles après.Ce n'était
pas ses affaires...
"Le
Maître a dit que tu dois être punie et c'est tout. Qu'est
ce qu'il y a gamine ? Tu n'avais jamais vu une bite d'homme ?"
"Ouh,
ça goutte. Tu es un bon coup, Qu'est ce que t'attends ? Sens-moi
ça, Approche toi. Faut t'y habituer. Avant peu tu suceras celui
de ton oncle !"
"Penche
toi sur cette belle pine écossaise, petit pute ! T'as montré
ton cul aux hommes avant et t'as aimé ça, j'le vois
bien, t'es mouillée. J'vais t'mettre la cravache sur ce joli
derrière pour t'apprendre les manières et l'humilité"
"
Je vous en prie ! Je ne suiis pas une putain ! Mon papa était
très strict. J'avais seulement un petit ami!"
"Ta
gueule, menteuse ! Je vais fouetter et baiser ton corps de salope
! Respire un grand coup, ça va faire mal !"
"NOOOOOONNN!
S'il vous plait! N.... "
"Est-ce
que Jamie t'a expliquée ta place ici, ma chère nièce
?"
"Vous
êtes un sale bâtard ! Fils de pute"
Continue,
Jamie. Cette jeune dame en veut encore !"
SSSSSSSSSSWIIIIIIIIISHHHHHHHH
.....
"AAAAAGHHHHHHH...
NOOOOOOOOOOOOOOONNNNN!!!"
"Je
t'ai acheté un petit cadeau quand j'étais à Londres.
C'est pour entraîner les esclaves. Tu dois apprendre à
baiser suivant la volonté de ton oncle... Il est peut-être
temps de te le donner !"
"Oh
non... Laissez-moi partir, LAISSEZ-MOI PARTIR !!!"
"Viens
par ici, Fiona. En tant que femme tu dois mieux savoir que moi comment
on utilise ceci"
"Merci,
Maître ," dit la servante, prenant l'énorme phallus.
Elle s'agenouilla près du derrière levé de Margaret,
sans défense.
Oncle
Silas regarda sa nièce séveremment et tira une bouffée
de son cigare.
"Ma
religion ne me permet pas de prendre part à ces activités"
dit-il " Mais je peux en donner les ordres. Je ne voudrais pas rencontrer
mon Créateur avec du jus de salope sur les doigts. ! " s'esclaffa-t-il.
"Mais ma servante fera du bon travail sur toi, je peux te l'assurer.
Elle a beaucoup de pratique !"
Margaret
sursauta quand l'énorme phallus de bois toucha ses lèvres
intimes. La servante aussi. Elle n'en avait jamais vu de si gros.
La
servante frotta lentement l'énorme phallus sur le sexe exposé
de Margaret.
Silas
sourit. "Vous êtes trop douce, Fiona. Je l'aurais enfoncé
à sec !"
La
servante sourit, et posant une main sur les fesses de la jeune fille,
elle poussa brûtalement et enfonça d'un coup le phallus
tout entier dans le vagin de Margaret.
"NOOOOOOOOONN
! Vous allez me tuer ! Vous êtes malades! NOOOOONNN ! AAAARGHHHHHHHHHHHHHH!"
"Maintenat
tu vas entraîner ta chatte d'anglaise. Tu dois améliorer
ta pratique avant de travailler sur la chose réelle !"
"Bien,
Fiona. Je vous laisse. Nous avons des invités pour diner, les
Hamishes et lesDouglases. Ils seront intéressés de rencontrer
une anglaise nue. Vous pouvez faire ce vous voulez. Je suppose que
vous allez utiliser la bougie ? Cela apprendra à cette jeune
dame comment serrer correctement le phallus !"
"NOOOOOONN!!!
S'il vous plait, je n'ai rien fait ! Pourquoi me faites vous ça
?"
"Tu
n'as rien fait ? Tu es anglaise et tu n'as rien fait aux écossais
?"
"AAAAAAAAAAGHHHHHHHHHHHHHHHHH
!!!"
"Ouille,
c'est très chaud si je tiens la bougie tout prêt de ton
distingué petit derrière anglais !"
"Tu
es très belle, Margaret. Il y a une vraie souffrance sur ton
visage. Je me souviendrai toujours de ce toi telle que tu es maintenant
!"
...
"Grimpe
la cage à bonne hauteur, Fiona. Utilise le baton noir sur ses
deux trous de salope!"
"Mon
père vous.... AAAAGHHHH... vous tuerais s'il était là!"
"Silence
Margaret! Je pense que les seules lèvres que Fiona veut voir
bouger, sont celles de ta chatte !"
"Elle
peut parler si elle veut, ça ne me gène pas" dit la
servante. " Mais elle doit dire, les anglais sont des salauds"
"AAAAGHHHH!!!
NON! AAAAAAAAGHHHHHH!!! D'accord ! Les anglais sont... aaaghhh !!!
...des salauds "
"Salauds
est le mot" dit la servante. " A genou, gamine, et ouvre la bouche.
Que mon mari mette sa pine écossaise dans cette jolie bouche
anglaise !"
"Votre...
votre mari?"
"Oui,
Jamie est mon mari. Je ne lui ai pas accordé de rapport depuis
vingt ans. Je suis d'une bonne famille, craignant Dieu ! Jamie est
catholique, qu'attends-tu ? Ouvre la bouche et suce !"
SUCK!
SLURP!
"Suce
plus fort, putain ! Enfonce le à fond ! Active toi ou bien
je te pends la tête en bas, les cuisses écartées
et je fouette ta grosse chatte baveuse avec ma ceinture de cuir !
Par
le Christ, vous êtes une race avec du sang de navet !"
"UGH...
Je ... viens ! OOOOH !"
"Si
tu laisses échapper une goutte, mon mari va te foutter la chatte
! Et j'attrappe le chat à neuf queux et je fouette tes grosses
mamelles en même temps ! Lèche ton porridge écossais
!"
Sur
l'ordre d'Oncle Silas, Margaret fut lavée,maquillée et une queue de
cheval fut enfoncée dans son anus. A l'heure du diner, elle dut
descendre les escaliers, sous les regards fascinés des invités, ses
seins lourds ballotant à chaque marche...
"Ce n'est pas une pouliche," dit Mr Douglas.
"C'est une vache laitière et quels pis elle a !"
"Doux Jésus," s'exclama Mr Hamish. "Si vous avez besoin d'un coup de main pour la traire, je suis votre homme!"
"Tourne
toi, Margaret, et montre à nos hôtes ta chatte et tes
nichons. Et écarte bien ta moule, que tout le monde puisse voir"
"Je... Je ne peux pas... Aidez-moi. J'ai été enlevée ! Aidez-moi, s'il vous plaît !"
SSSSSSSSSSWIIIIIIIIISHHHHHHHH
.....
"AAAAAAAGHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!!!
NOOOOOOONN !!!
Ne me frappez plus, je vais le faire !"
Margaret
ouvrit les lèvres de son sexe et bougea lentement, tournant sur ses fesses endolories...
"Maintenant dit, baisez-moi, baisez-moi s'il vous plaît" ordonna Oncle Silas.
Margaret obéit. "Baisez-moi, baisez-moi s'il vous plaît ! ...Baisez-moi s'il vous plaît
De
là où elle était sur le tapis, tournant en rond doucement elle eut une
vision vertigineuse des hommes retirant leur pantalons.
Les femmes s'étaient retirées poliment au salon, laissant les hommes prendre leur apéritif... Margaret se sntit malade de dégoût alors que les membres en érection semblaient jaillir au-dessus d'elle...
Les
hommes la mirent debout brutalement et l'entraînèrent vers la table.
Ils repoussèrent la nappe et allongèrent Margaret sur le dos, ses
cuisses grande écartées découvrant son sexe ouvert. Puis ils
attachèrent ses chevilles aux pieds de la table...
Margaret
poussa un cri quand Mr Hamish enfonça son pénis en elle.
Un cri rapidement interrompu: Mr Douglas
s'était assis à califourchon sur elle et tenait la tête
de Margaret comme dans un étau. Il força sa bite profondément
dans sa bouche qui protestait.
Oncle
Silas regardait, un demi-sourire aux lèvres..
"Tu commences à apprendre la valeur de l'obéissance"
dit-il. "Pendant le diner tu seras placée sur la table. Je
pense que Mr Hamish voudra utiliser ta chatte comme porte-salière.
Et la nuit sera longue, je peux te l'assurer. Quand tous les invités
en auront fini avec toi, Jamie ira t'attacher sur un tonneau à
whisk, les jambes bien écartées et le con bien en l'air.
Il
utilisera une lourde ceinture de cuir sur toi, encore et encore sur
ton sexe ouvert. Pendant que sa femme travaillera tes gros seins à
coups de cravache. Il est important que tu apprennes rapidement que
ton corps appartient à ton Maître. Pour toujours. "
Les
yeux de Margaret s'écarquillèrent de terreur. Elle cherchait
l'air tandis que le membre s'enfonçait dans sa bouche, touchant
le fond de sa gorge. Elle grimaça de douleur pendant que l'autre
membre la défonçait douloureusement.
Pour
la première fois elle réalisa qu'elle ne s'appartenait
plus. Elle avait perdu l'héritage de son père. Mais
elle avait aussi perdu son corps. Chacune des parties de son
corps nu était à la disposition de tout un chacun.
Elle
appartenait à tous, à son oncle, à ses invités,
à la gouvernante revêche avec sa cruelle cravache, à
son mari brutal avec son membre dégoûtant et sa ceinture
de cuir.
Et
à n'importe quelle personne que son Oncle sinistre daignerait
choisir...
Fin
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