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la putain de l'Islam |
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Je fus mise à genou, le sac plastique me fut ôté... Ma poitrine se gonfla alors que je pouvais enfin respirer. Merci messieurs mes ravisseurs. |
A poil maintenant. On va t'accrocher d'abord ! Je me mis à trembler, à geindre sous l'adhésif, alors qu'ils me présentaient un noeud coulant. |
Rapidement, ils détachèrent ma ceinture, m'accrochèrent par le cou. Ils tendirent la corde, m'obligeant à me dresser sur la pointe des pieds. Ce qui les aida pour détacher mes bottes. |
Voyons ce que cache cet uniforme Les cordes m'écartelaient,
m'étranglaient.
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Pendez la un peu que l'on voit la résistance de la garce Aaaaah.
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Je me débattis, j'essayai de me détacher. En vain. Mes poumons s'embrasaient. Un voile noir, peu à peu, obscurcit ma vue. |
Aidons la catin à danser encore. Qu'elle remue le cul et les mamelles |
Ah ! Voyez comme elle se trémousse Je râlais lorsque la
cravache cingla mes seins et mon ventre.
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Essayons cette putain. Ils me suspendirent par les
pieds puis les deux imans se dévêtirent.
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Suce, esclave. Bien à fond. Active toi. A moins que tu ne préfère le fouet ? |
Je m'étouffais. Je
toussais. Je grognais.
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Ouvre ta gueule de putain! Tu va rester remplie et bouchée toute la nuit comme une outre à foutre |
Après ma bouche, ce fut au tour de mon sexe et de mon anus. J'étais bouchée de partout. Et remplie. |
Avance. Tes appartements de putain t'attendent |
Mmmmmmrrrrr.... |
Envie de te vider, esclave ? Toute la nuit je m'étais tortillée en proie à l'intolérable envie de... tout faire. Et au matin, enfin ils arrivèrent. |
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Tu vas être percée et marquée. Afin que tout musulman sache que tu es la putain de l'Islam. |
Noooonnn ! |
Aaaaahhh ! |
La pince agrippaient mes chairs les plus tendres et un méchant poinçon les transperçait. Mes pointes de seins, mes lèvres intimes, mon nez... |
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Ils mirent mon ventre à nu, rasant les poils de mon pubis. |
Et je fus marquée au fer rouge. Devant au-desus de mon sexe, |
Pour te garder bien ouverte. |
Penche toi. Montre ton cul. Montre à qui il appartient |
Garde la langue sortie, salope et remue la. Qu'on entende la clochette. |
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Ah enfin! Te voici esclave paresseuse. |
Le champagne est pour toi. Pour fêter la nouvelle putain |
Ils me suspendirent par les bras avant d'ôter le pieu. |
Fouette la bien. Elle n'en sera que plus chaude |
La suite fut un cauchemard. |
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L'anneau de mon sexe et mon collier cloués sur une sorte de tréteaux, mes seins enchaînés, je fus livrée ainsi à ces brutes infames. |
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Allez Ahmed, hisse la . |
Voici une poule bien troussée et bien embrochée. Seuls mes bras arc-boutés en arrière, tirant sur le collier, me coupant en partie la respiration, m'empêchaient de m'empaler. |
Mais peu à peu, les muscles de mes bras se tétanisaient, un voile noir obscurcissait ma vue et je sentais le pal, lentement déchirer mon vagin. |
Oh oui ! Je fus bien emballée. Ligotée sauvagement... |
... la tête rasée ... |
... et poussée, la corde au cou, dans cette caisse étroite et puante. |
Il appuya sur mes épaules et les plugs s'enfoncèrent en moi ... |
... repoussant la corde qui me sciait le ventre, rabotant mes chairs déjà blessées. |
Le carcan m'immobilisa le cou ... |
...et la caisse fut fermée. Seul un trou devant ma bouche laissait encore passer un peu de lumière. |
Las ! Un énorme gode de caoutchouc y trouva son chemin, envahit ma bouche profondément, touchant le fond de ma gorge. |
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- FIN -
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