fleche 

L'asservissement
de la Comtesse Laureline de Saint-Brieuc


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Intermède
(le surlendemain du vol de Laureline)

Le surlendemain, l'intendant se présenta devant le Prince.
- Oui Prince. Nous avons retrouvé les bracelets et le collier de l'esclave dans une allée forestière. Un véhicule est venu là, en est reparti et a rejoint l'autoroute E20.
Un ramasseur de champignons a vu le véhicule, ainsi qu'un boulanger qui prenait le frais. Ils ont reconnu l'immatriculation...
-D'où ?
- Provence, Seigneur. Les deux hommes sont formels.
- Provence ! Ce misérable parvenu et sa maquerelle qui se prétend Comtesse. Pas mariés, à peine associés dans des affaires douteuses. Je sais que la Comtesse Laureline avait refusé sa demande en mariage. A lui aussi.
Envoyez quelques personnes en Provence. Qu'ils m'apprennent où est séquestrée Laureline. Je crains pour son intégrité. Morale et physique. Provence est connu pour sa cruauté et ses délires sadiques envers ses esclaves. La Comtesse Laureline n'est plus qu'une esclave mais j'en ai la responsabilité.
Allez, que vos agents fassent vite.
Quant à moi je vais contacter nos amis de Strasbourg. Savoir ce qui se dit sur Provence. Connaître ses appuis, ses faiblesses. Et savoir si Strasbourg fermera les yeux quand j'enfoncerai ma dague dans la  panse du gros porc.


Chapitre 4 : le débourrage


Marquage

Et puis un jour la voix de ma Maîtresse m'éveilla. Je me mis aussitôt à genou attendant que les trappes s'ouvrent pour y passer la tête et sortir la langue.
- la chienne est bien dressée. Elle va pourvoir apprendre à trotter. Prépare là Lieutenant, je t'attends là haut.
Je ne compris rien à ce moment, si ce n'est que j'allais enfin sortir de ce sous-sol.
L'espoir me gagnait et je piaffai presque d'impatience tandis que le Lieutenant déverrouillait ma ceinture et arrachait sans ménagement les plugs qui me bouchaient. Je tombais à genoux, voulant le remercier après qu'il m'eut ôté et le bâillon et le masque.
- Arrête putain, Madame la Comtesse attend. Avance.
Je le suivis, tenue en laisse et peu à peu j'aperçus la clarté du jour tout en haut de ces marches qui me conduisaient ...
Vers un nouvel enfer..

Je reconnus aux odeurs, l'endroit où j'étais parfois récompensée. Le Lieutenant m'entraîna vers une dalle de béton que surmontait un grand mat. La Maîtresse était là avec le Sergent et un autre que je n'avais jamais vu.
Tout se déroula alors rapidement.
Je fus enchaînée allongée sur le béton, les bras maintenus en croix par une barre et les cuisses aussi. Un crochet fut fixé à la barre de mes jambes et je me retrouvai suspendue, écartelée, la tête en bas.
J'entendis ma Maîtresse réclamer l'anesthésie en riant.
Affolée, je ne compris pas la signification du mot.
Jusqu'à ce que la douleur affreuse de la cravache métallique qui s'abatit entre mes jambes ouvertes, me fasse hurler et tordre dans les chaînes qui m'écartelaient.
Une pince saisit alors les grandes lèvres de mon sexe brûlant et un poinçon en perça les chairs.
La cravache avait incendié la fourche de mes cuisses et je ressentis à peine les tiraillements de l'anneau qui transpercerait dorénavant mon sexe.
Mon sexe et mes seins car la même opération fut répétée pour ma poitrine :
la cravache qui cinglait le sein ;
la pince qui en broyait le téton ;
le poinçon qui perçait la peau fragile, traversait la chair pour ressortir ;
et l'anneau qui me dégradait encore et encore.
Le Sergent prit alors appui sur ma poitrine martyrisée.
La suite se déroula comme au ralenti, comme si le temps de mon avilissiment était devenu visqueux. Une chaleur sourde sur mon ventre, au-dessus de mon immatriculation d'esclave, un grésillement et soudain, la brûlure effroyable du fer rouge que le Sergent venait d'appliquer parvint à mes sens. Elle ravagea mes nerfs, saccagea ma raison, tétanisa mes muscles et un cri inhumain se réverbérant à l'infini sur les hauts murs de béton m'assourdit.
C'était ma voix.


 

Alors qu'ils me trainaient vers un des billots où j'avais parfois été récompensée, ce cri se changea en râles oppressés.
Penchée vers l'avant, reposant sur les aspérités du billot, les fers de mes poignets cadenassés dans mon dos, je n'étais maintenue là, la croupe offerte, que par une corde passée dans mes anneaux de seins. Ma Maîtresse s'approcha :

- Toutes les juments ont le même harnachement, y compris la crinière. Comme en plus le bétail attrape vite de la vermine... Vas y Lieutenant. Tonds moi cette putain.

J'étais perdue et c'est désespérée que je le vis approcher, une tondeuse à la main. C'est désespérée que je regardais tomber mes longues boucles blondes sur le sol. Et je pleurais....


Une botte sur mes reins, la chaleur sur ma fesse gauche et de nouveau ce grésillement, cette odeur de viande animal grillée et encore une fois, mon esprit rompit ses amarres dans une tempête de souffrance. Ce dernier marquage arqua mes reins. Je me redressai en hurlant mais l'horrible sensation que mes seins se déchiraient, me rabattit brûtalement sur le billot et je m'évanouie.
Harnachement

Je me réveillai dans l'écurie et je compris toutes les paroles sibyllines, toutes les allusions qui m'avaient semblé mystérieuses.
En bas, dans les souterrains, dans ses cages étroites et ses salles de tortures, on m'avait dressée. On m'avait appris la servilité. On m'avait dressée à sortir la langue, à lécher, à sucer. On m'avait dressée à présenter mes fesses afin que l'on use de mes trous à volonté. On m'avait appris à n'être qu'un objet de plaisir ou de tourment pour Maîtresse ou ses gardes, pour tout être humain qui daignait se servir de moi. Maintenat il allait falloir me dresser comme un animal, un animal de trait, une jument, une pony-girl. Je ne serais plus dorénavant qu'un numéro parmi le bétail.
Il y avait déjà trois juments dans l'écurie.
Penchées en avant, les mains enchaînées dans le dos, les jambes lourdement bottées et largement écartées par des fers aux chevilles, leur ventre reposait sur une sorte de tréteau d'acier (matelassé d'ailleurs). Elles présentaient ainsi leur croupe marquée au fer rouge et le plug métallique qui, enfoncé dans leur anus, dépassait d'entre leurs fesses. Elles étaient bien sur rasées, et bridées, la bouche sciée par un mors muni d'une large boule qui déformait leurs lèvres à outrance.
Deux chaînes enfin, l'une fixée au collier de métal et l'autre à l'anneau qui perçait leur vulve achevaient d'entraver les juments.
Il en fut de même pour moi.
Le Lieutenant me bascula sur le tréteau et coinçant ma tête entre ses cuisses, il cadenassa les fers de mes poignets. Pendant ce temps le Sergent m'enchaînait le con.
Un instants ils jouèrent avec la chaîne qui allongeait mes lèvres, me faisant gémir. Puis ils me chaussèrent des cuissardes aux semelles compensées et aux talons démesurés avant d'immobiliser mes chevilles.
Une griffure sur le P35 gravé sur mes fesses, c'était Maîtresse revenue après s'être changée et avoir revêtu ce gode ceinture dont elle aimait me défoncer l'anus.
- Pour que le plug s'enfonce mieux...
Mon cul de jument s'arrondit pour mieux l'accueillir et j'ouvris grand ma bouche à la virilité du lieutenant qui aggrippa ma tête.
A son tour, le Sergent me monta et tandis qu'il me remplissait le cul et le con, Maîtresse me présenta le gode que j'avais souillé et m'apostropha :
- tu es une salope au cul sale. Demain tu nettoiras l'écurie. Finissez la, je vous attends au manège. Mettez lui des poids aux mamelles. Elle trottera mieux.
 
 


Manège

Le manège... Il s'agissait pour nous les juments, d'apprendre à trotter élégamment. On nous sanglait la poitrine et nos poignets étaient accrochés à un anneau dans le dos. Quant aux chaînes des chevilles et celle du sexe, elles étaient jointes. Il fallait tourner autour du mat central, d'en entrainer l'axe et la caméra qui nous surveillait. Ainsi harnachée, la jument trottait, la poitrine cambrée, en levant haut les cuisses, seule manière pour elle d'aller vite et sans que l'anneau qui perçait la vulve ne la déchirât. On nous encourageait à coup de fouet et la matinée passait ainsi entrecoupée de courts repos où l'on nous donnait à boire dans une gamelle de zinc. Ce premier matin, je tombai plusieurs fois et l'on me releva à coups de cravache. Peu à peu le soleil était monté dans le ciel et lorsqu'on nous arrêta, c'est avec avidité que, malgré la bride et la boule qui me bâillonnait, je bus à la gamelle.

 

J'aspirais l'eau tiède plus que je ne la buvais, je m'étranglais parfois, et lorsque le Lieutenant me tenant par la chaîne de mon ventre me flatta le dos de sa cravache, je grognai un "Merci Maître".

La matinée achevée on nous ramenait à l'écurie où nous pouvions nous reposer aux heures chaudes de la journée, la tête reposant sur ce qui nous servait de mangeoire. Puis on  attelait les juments chacune leur tour pour une sortie en dehors du fort. Le harnais différait ainsi que la bride. Plus ajustée, comportant des oeillères, elle était munie d'anneaux permettant la fixation des rênes. La jument, les coudes et les poignets étroitement liés dans le dos,  était corsetée séverement de manière à l'atteler au sulky. Deux sangles attachées sur le haut des bottes et les maintenant fermement complétait le harnachement de la jument. Pour cette première fois, le Lieutenant m'attela à un sulky léger. Il m'expliqua qu'il y avait un sulky de parade comme il y avait un harnachement de parade. Mais que ce serait ma récompense lorsque mon débourrage serait achevé.
Maîtresse monta dans le sulky et me fit avancer au pas dans la cour du fort. L'emprise des rênes sur ma bouche était totale. J'avançai la tête droite, vers la grande porte du fort qui s'ouvrait sur une longue allée. L'enceinte du fort à peine passée, Maîtresse me cravacha. Je m'élançai, levant bien haut les cuisses. Le corset me coupa le souffle lorsque l'inertie du sulky le resserra, mais j'obéis à Maîtresse qui m'encourageait de la voix et de sa cravache.
- Allez, jument ! Remue ton cul! Lève ces cuisses. Allez 35, plus vite...
La cravache s'abattait sans cesse et peu à peu je trottai à belle allure. Il faisait frais dans cette allée bordée de pins. Mes bottes ferrées claquaient en rythme sur le sol, mes chaînes cliquetaient et ma respiration forte n'était entrecoupée que par mes cris étouffés par la bride, lorsque la brûlure de la cravache me surprenait. Mon corps était le siège de sensations profondes. Le gros plug qui remplissait mon cul remuait en moi à chaque pas, comme la chaîne suspendue à ma vulve qui tiraillait mes chairs. Ma bouche cisaillée par le mors, dilatée par la boule, était l'instrument de Maîtresse qui me conduisait.
- Au galop, salope.
La cravache s'abattit plus fort, je fis un écart. Mais les rênes me maintinrent dans la bonne direction.
Les mâchoires me faisaient mal, de la bave s'écoulait sur mon menton, j'étais essoufflée, en sueur mais j'obéis comme un bonne jument.
Et c'est ainsi que je terminai ma première sortie, au galop, le corps fourbu rafraîchi par le vent de la course.
 
 


Pâture et bouchonnage

Le matin commençait par la pâture et le toilettage des juments. On ôtait, avec plus ou moins de brutalité, le plug qui bouchait leur cul et elles pouvaient faire leurs crottins et pisser. Une des juments était désignée ensuite pour nettoyer le sol tandis que l'on bouchonnait les autres avec une brosse rude. Sur les peaux meurtries par le fouet, cela faisait mal. Et les juments gémissaient malgré le mors qu'elles conservaient pratiquement tout le temps.
Ce premier matin, par ordre de Maîtresse, je fus désignée pour le nettoyage. Mon harnais me fut retiré et remplacé par un bâillon ouvert dans lequel le Lieutenant enfila le manche d'un balai lave-pont. Je dus faire ce qu'il fallait que je fasse.
Je manquai plusieurs fois vomir tellement cela me dégoûtait, mais une cravache me ramena à la raison. Et tandis que l'on étrillait les autres juments, qu'on les arrosait au seau, qu'on les brossait jusqu'à ce que leur peau soit rougie et luisante, à genou sur le sol de béton, je frottais et récurais, poussais les crottins vers le caniveau central.
 
 

 


Intermède
(deux semaines après le vol de Laureline)

Le soir dans la grande salle du Chateau du Prince.
- Enfin des nouvelles ?
- Oui Prince. L'esclave, pardon, la Comtesse est toujours vivante.
- Esclave, Comtesse, qu'importe. Elle m'appartient. Ensuite.
- Elle est enfermée dans un ancien fort situé sur la frontière de la Principauté de Catalogne.
- Vas-tu cessé de gémir ! Tiens moi la cravache. Et ne la lache pas !
- Qu'a-t-elle fait, Prince ? Si je puis me permettre...
- Elle s'ennuie dans le lit de son Maître. Aussi l'ai-je équipée de deux godes vibrants. Et ma foi, ils font leur petit effet. Allons, je te fais grâce. Nous reprendrons plus tard.
Alors ? Comment va-t-elle ?
- A ce que nos agents ont appris, c'est là que le Comte dresse les esclaves qu'il réserve à ces jeux. Tortures, pony-girls, éxécutions même. Les gens parlent peu dans la région, le Comte fait peur, mais on dit que l'asservissement légal est bien peu respecté. On dit aussi que les esclaves qui entrent au fort, en ressortent rarement. Vivantes.
- Ces racontars sont sérieux ?
- Oui Seigneur. Les rapports de nos agents se recoupent.
- C'est très grave ce que vous m'apprenez là. Strasbourg n'est pas au courant en tout cas. On me l'aurait dit.
Le Prince Dominique consulta les rapports, réfléchit longuement tout  en caressant machinalement l'esclave bâillonnée qui se cambra de désirs, insastifaite...
- Esclave, tu es indécente. Tu attendras que je t'ordonne de te lâcher.
Tandis que l'esclave, les mâchoires crispées sur la cravache qui cisaillait ses lèvres fardées implorait un "Pitié mon Maître..." le prince se retourna vers l'intendant.
- Je pars après-demain. Avec quatre hommes. Les meilleurs. Je vais prévenir la Princesse de Catalogne. Elle me recevra et m'aidera. Nous sommes de grands amis et elle exècre Provence. Nous pénétrerons discrétement la Provence par sa frontière sud. Tout doit être préparé au grand jour. Annoncez une visite officielle à Barcelone. Prévenez les médias mais pas d'interview. Réglez tout cela.
Je communique ces rapports à Strasbourg et demande l'asservissement involontaire du Comte de Provence et de sa grue.
- Seigneur ! C'est un noble !
- Non c'est un animal. Strasbourg va enquêter, c'est certain. Mais on sera là-bas, trop heureux de se débarasser d'une brebis galeuse. Et trop heureux d'apprendre que je vais accepter d'augmenter ma production d'énergie électrique.
Le Prince sourit.
- Je vais acheter les couilles du porc avec quelques gigawatts d'électricité nucléaire...
J'allais oublié...  J'emporte agnès avec moi. L'esclave laureline risque d'être mal en point et je serais suffisamment occupé. Agnès la prendra en charge.
 



Service
Après l'entraînement, on me ramena aux écuries. Je fus enchaînée avec les autres juments et nourrie de croquettes pour esclaves.
La mangeoire servait aussi de repose-tête pour la nuit et les gardiens nous comblaient même d'un coussin.
Ainsi se termina ma première journée de jument.
Ainsi se terminaient les journées des juments.
Excepté pour celles qui étaient désignées pour servir les gardes du fort.
Elles étaient alors apprêtées sommairement et, à peine vêtues d'un tablier blanc, de bas et de sandales hautes, elles étaient emmenées le ventre, les chevilles et les poignets enchaînés vers le mess. Là, elles servaient à boire, les plats et les hommes, comme le rappelait un écriteau accroché à leur collier.
Elles devaient monnayer leurs trous et gare à celle qui ne gagnait pas assez : elle était sévèrement punie dans les salles de torture du fort.
Cela m'arriva une fois et je me souviens de ces vingt-quatre heures que je passai sur le chevalet. Le châtiment fut à la hauteur de ma faute.
Ce soir-là, on m'avait forcée à boire.
Allongée sur une table, tenant la chaîne de mon sexe afin d'en bien dégager le trou, j'avais ingurgité l'alcool brûlant qui coulait de la bouteille que l'on forçait entre mes lèvres.
Après que l'on m'eut violée plusieurs fois de suite, j'avais repris mon service, nauséeuse, titubant sur mes hauts talons.
Et j'avais renversé un plateau, cassant une choppe ou deux, filant mes bas.
J'avais été corrigée aussitôt puis entraînée par le Sergent.
 
 
 
 


Punition d'une servante maladroite

J'étais ivre, j'avais envie que l'on me laisse là, mais que valent les désirs d'une esclave ?
En me bousculant, en me cravachant, le Sergent me fit descendre les marches métalliques des souterrains et me conduisit vers la salle de torture numéro 2, celle de l'électricité.
Soudain je fus submergée d'une terreur panique et tombai à genou, osant implorer le Sergent.
- Je vous en supplie, Maître ! Pas l'électricité. Je ferai ce que vous voulez. Pitié Maître !
Le Sergent partit d'un gros rire :
 -Ah ma salope ! Je n'y pensais même pas. Mais comme tu viens d'aggraver ta faute en parlant sans permission, je vais ajouter quelques petites choses à la punition que j'avais prévue. Pas d'électricité ? Ah Ah Ah... D'accord...
En riant il désigna le chevalet...
Rapidement il passa une corde autour de mon cou, me déchaussa.
J'étais debout, frissonnante et je regardais l'inscription qu'il traçait sur l'ardoise que je portais encore.
- Don't disturb, Ah Ah Ah... Personne ne viendra te déranger pendant les 24 heures que tu vas passer sur le chevalet. A part moi. Toutes les heures pour te cravacher les seins.
Encore une fois j'allais supplier mais je n'en eu pas le temps. La corde se tendit, je reculais, mes mains touchèrent le métal glacé du chevalet et le Sergent me hissa par le cou.
Peu à peu je perdis pied, la bouche béante essayant de happer un peu de cet air qui raclait ma gorge. On écarta mes cuisses, une sensation de descendre et mon cul s'enfila sur le pieu de métal. Le Sergent dut relâcher la corde car soudain je tombais. Je m'enfonçai inexorablement sur le plug qui dilata à outrance mon cul, jusqu'à ce que ma fente porte sur l'arête aiguë du chevalet.
Je reprenais à peine mon souffle, me tortillant pour soulager un peu mon cul défoncé, quand le Sergent accrocha la corde à la chaîne de mes poignets. Il en régla la tension, ajusta la poulie et je me retrouvai prise dans un choix de douleurs : ou bien j'avais l'impression que mes épaules allaient se déboîter ; ou bien la corde m'étranglait.
Il ajouta ensuite les " petites choses " promises : des poids qui étirèrent mes pis vers le bas et un autre qui distendait mes lèvres.
Puis il me laissa dans l'obscurité humide, non sans avoir encore, augmenter la tension de la corde.
Vingt quatre longues heures, je restai ainsi, la moule cisaillée par l'acier du chevalet et tiraillée par le poids ; le cul défoncé par le pieu de métal et les mamelles pendantes ; les épaules déchirées ou l'étranglement que provoquait toute tentative de les soulager.
Le Sergent ne m'oublia pas. Il revenait régulièrement, toutes les heures avait-il dit, pour me cravacher les mamelles qui rebondissaient, valsaient, entraînées par les poids.
Et moi je dansais en hurlant, en m'évanouissant parfois.
Jusqu'à ce que la sensation d'étouffement ne me réveille.
Vingt quatre heures...
Lorsque le Sergent mit fin à ma punition, qu'il me décrocha, je m'écroulai au sol. Je gémis à peine lorsqu'il me viola sur le sol de béton et dès qu'il eut fini de m'utiliser, qu'il m'enchaîna au pied du chevalet, je tombai dans un sommeil lourd et cauchemardeux.
 
 
 
 


fleche

- à suivre -


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