Chapitre
6 : la délivrance
Soudain le
Comte sembla jaillir de mon cul, la tension
des rênes disparut...
- Eh bien
Comte. Pardonnez moi de vous interrompre mais
il semblerait que vous m'ayez volé une esclave qui
m'appartient
et à laquelle je tiens beaucoup.
Cette voix !
Douce mais menaçante... Le Prince,
mon Maître.
Je me
recroquevillai sur moi même. Je me sentais
sale, impure. Je ne voulais pas qu'il me voit ainsi.
Le ton
changea, la voix devint sèche :
- Parle. Et
vite ou je troue ta panse de porc.
Le Comte
couina, prit peur :
- Elle est
là, c'est elle la Comtesse de Saint-Brieuc.
- Laureline ?
C'est toi ? Qu'ont-ils fait de toi ? Et tes
cheveux ? Une perruque ?
J'acquiesçai
dans un grognement assourdi et dans
un tintement de clochettes.
Il se tenait
debout au-dessus de moi, me dominant. Il
m'examina : mon corps marqué au fer rouge et au fouet, les
anneaux
qui avilissaient mon sexe et mes seins, ces pompons et cette queue de
jument.
Ses yeux
s'assombrirent, se voilèrent, comme deux
puits de ténèbres glacées, et
malgré moi je
frissonnai.
J'eus peur
à cet instant, non pour moi, mais pour
ceux qui allaient être la cible de cette colère
froide. J'essayai
de dire non...
Mais
brusquement le Prince pivota sur lui même
et son bras se détendit. Son épée
cingla le visage
du Comte qui s'écroula en jappant, la joue en sang.
- Porc ! Tu
vas payer pour cela
Comme un
fauve, le Prince se jeta sur le Comte, lui lia
les mains, déchiqueta ses vêtements et le
bâillonna
avec les lambeaux.
Il dut trouver
la clef car il ôta ensuite mes chaînes,
mon harnais, le corset, et jeta au loin les pompons rouges.
Je toussai, la
mâchoire endolorie :
- Merci,
Prince... Merci Maître.
- Prince ou
Maître, qu'importe. Il faut nous
dépêcher,
nous ne sommes pas en sécurité ici. |
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Je
regardais cet homme dur, plein de fierté
et qui pourtant avait traversé des provinces pour reprendre
son
esclave dérobée. Cet homme qui s'agenouillait
devant son
esclave retrouvée et qui ne se ressentait pas
déchu pour
autant.
Je regardais
cet homme, j'avais envie de l'embrasser,
de le serrer, de sentir sa chaleur sur mes seins. J'avais envie de le
remercier.
Un instant je faillis le faire comme on me l'avait appris mais... Des
larmes
mouillèrent mes yeux. On m'avait réduit
à cela...
Il saisit la
chaîne de mon ventre, sa main tremblait
de rage contenue.
- Je ne peux
rien faire pour l'instant. Mais au camion
il y aura la clef laser nécessaire. Peux-tu marcher ?
Je retins mes
larmes et je souris. L'espoir renaissait
et malgré moi je retrouvai ma morgue d'autrefois, ma morgue
de Comtesse.
- J'ai
été bien dressée, Maître.
Je peux même courir. Mais il faut me laisser les bottes.
Il me regarda,
ses yeux se plissèrent comme un
sourire.
-
Peut-être aurais-je dû laisser le bâillon
à l'esclave insolente ? Qu'en penses-tu ?
Il claqua mes
fesses nues en souriant, ce qui m'arracha
un cri car le brasier de la cravache m'enflammait encore la peau.
- Pardonne
moi. Allons vite ! Debout toi !
Il releva le
Comte et le fit avancer de la pointe de
son épée.
Je suivis le
Prince en tenant la chaîne et en essayant
d'assourdir les grelots.
Ce matin
là j'avais trotté encouragée
par le fouet.
Mais
à cet instant je trottai heureuse de le faire librement.
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Enfin nous
arrivâmes au camion, un engin vieillot
aux plaques d'immatriculation effacées, auquel avait
été
attelée une bétaillère.
Je
reconnus de loin Agnès et la Comtesse, dont
on avait ligoté les poignets.
Agnès
achevait de la déshabiller avec une
longue dague.
Les yeux
de la Comtesse lançaient des éclairs
mais elle ne pouvait rien dire ni faire. Un morceau de ruban
adhésif
la réduisait au silence et les hommes du Prince la
maintenaient
fermement.
-
Seigneur, vous voici enfin ! Nous avons trouvé
celle-là. La Comtesse de Provence. Sur un sulky
attelé à
cette fille. Qui n'est même pas une esclave, elle ne porte
pas le
numéro d'asservissement. Mais par contre, regardez ces
marques !
- Je
sais. Laureline porte les mêmes.
Agnès
se retourna, me regarda, ses yeux s'arrondirent
d'effroi et elle s'avança vers moi.
- Pauvre
petite...
Je me
jetai dans ses bras et pleurai à chaudes
larmes.
-
Allons, allons, me
gronda-telle gentiment, c'est
fini
maintenant. Viens t'habiller un peu. J'ai apporté de quoi.
Le
Prince fit semblant de se fâcher.
- Et
sans me demander l'autorisation ?
- Pardon
Maître, mais... Agnès se tenait,
la tête penchée très humble mais avec
un demi-sourire
têtu. Un petit sourire têtu et insolent.
- Mais
quoi ? Il y a des " mais " avec ton Maître
?
-
N'avez-vous pas dit VOUS même, vous mon Maître,
qu'une esclave se devait d'être parfaite pour son
Maître ?
N'avez vous pas ainsi choisi vous-mêmes ma tenue de combat ?
Qui
protège à peine mon derrière ? Alors
sachant que vous
alliez récupérer l'esclave 35, qu'elle ne serait
pas vêtue
dignement, pour vous mon Maître, j'ai pris la
liberté d'emporter
quelques effets dans une petite valise. Et puis vous le savez bien,
vous
avez porté vous-même cette valise.
- Ce
bagage qui m'a encombré sans cesse ?
Le
Prince éclata de rire, ses hommes aussi. Même
la jeune fille marquée 62 prit part à ce moment
d'hilarité
général. Tout le monde, à part les
deux prisonniers,
se détendit, les pensées noires
s'évanouirent.
- Bon je
n'aurai pas le dernier mot avec toi. Quel monde
vivons nous. Deux esclaves insolentes ce matin. Bon. Fais en
à ta
tête. Occupons nous de ces deux-là. Qui ne le
savent pas encore,
mais qui sont dès à présent asservis.
Et je suis leur
propriétaire. Que l'on m'apporte le marqueur.
Le Comte
et la Comtesse de Provence tombèrent
à genou. Ils se mirent à trembler, refusant le
fait. Mais Agnès m'entraîna et je n'en vis pas
plus.
- Viens
aussi... mignonne, je trouverai bien quelque
chose pour toi.
Pendant tout le temps
où Agnès m'aida à
m'habiller, elle parla, parla. Ce bavardage me faisait du bien.
Agnès
s'insurgea contre le maquillage " de filles des rues " qu'elle
s'appliqua
à enlever, déplora les bas trop fins qui
masquaient peu les
marques de fouets, rit de mon expression lorsque je
découvris la
robe si courte qu'elle m'avait choisi. Elle voletait autour de nous, la
jeune fille et moi, vérifiait le tombé d'une
robe, ajustait
la couture d'un bas, mouillait un mouchoir afin d'enlever une petite
tache
sur un escarpin.
Toute cette agitation cachait
quelque chose. Je l'interrogeais.
Elle ne dit rien, me répondant par quelques mots sibyllins :
-
Maître t'en parlera lui-même. Je ne suis
pas d'accord. Mais si ce que je crois savoir sur toi est juste, ne te
soucie
de rien. J'ai plus d'un tour dans ma valise pour obtenir de mon
Maître,
ce que je veux qu'il fasse.
Elle fit
taire mes questions d'une lingette démaquillante
dont elle caressa mes lèvres. |
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Pendant
ce temps, les deux nouveaux esclaves avaient été
immatriculés. J'avais entendu leurs cris
déformés
par les bâillons ce qui m'avait fait frémir. Je me
souvenais
de mon immatriculation, de l'infinité de piqûres
que provoquait
le marqueur.
Toutes les trois nous
approchâmes. Une sorte de
curiosité avide me poussait à assister
à la déchéance
de mes bourreaux.
Mais
le Prince m'arrêta et m'entraîna à part.
Je
pris sans m'en rendre compte la position de soumission, jambes
écartées,
mains derrière le dos et tête baissée,
mais son vouvoiement
me glaça.
- Je vais vous
envoyer dans une clinique pour y effacer les marques
du fer ainsi que l'immatriculation. Comtesse, vous étiez
sous
ma responsabilité et j'ai failli.
La moindre des
choses que je puisse faire est d'effacer
ces marques sur votre corps en souhaitant que cela atténue
les blessures
de votre âme.
Puis je vous renverrai chez vous. Je n'ose
espérer que vous m'accordiez un jour
votre pardon.
J'allais protester, implorer qu'il
me garde mais il coupa
court à mes suppliques en tournant les talons. Et puis je me
souvins
des paroles d'Agnès. Elle savait tout cela. Mais
n'avait-elle pas
dit qu'elle avait la solution ?
C'est partagé entre
désespérance
et espoir que je rejoignis les autres, que j'assistai à
l'embarquement
des deux esclaves, la 42 et le 87.
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Bâillonnés
tous les deux, leur anus bouché
par ce qui avait été nos plugs de juments, ils
étaient
ligotés ensemble à la mesure des crimes qu'ils
avaient commis.
Le 87 devait être castré chimiquement, ainsi
en avait décidé le Prince, mais le lien qui avait
été noué autour de ses bourses ferait le même effet
s'il y restait
trop longtemps. Et si la 42 bougeait trop. Car un noeud coulant lui
avait
été passé autour du cou et
attaché aux testicules
du mâle.
Un homme du Prince les hissa ainsi
dans la bétaillère.
Puis les chevilles des deux esclaves furent liées. La
femelle grogna
car elle devait avoir du mal à respirer, le cou
serré à
la fois par le noeud coulant et par les grosses cuisses du
mâle.
La rampe fut remontée et nous prîmes place dans le
camion.
Le
voyage jusqu'aux marches du Comté d'Auvergne
où nous attendait un avion fut long. Le véhicule
était
poussif, malodorant et nous étions, Agnès, Odile
(l'ancienne
jument 62 qui avait demandé à venir avec le
Prince, plutôt
que de retourner chez elle, trop honte, avait-elle dit) et moi, assises
à l'arrière et ballottées en tout
sens. Pourtant ce
n'était rien après ce que j'avais
vécu. Mais je me
sentais triste.
J'essayai
de comprendre ce sentiment étrange qui
me broyait l'âme. J'avais envie d'être Son esclave.
Moi, Laureline,
Comtesse de Saint-Brieuc. Et il ne voulait plus de moi !
Tout
à l'heure, alors que nous regardions le chargement
des deux esclaves, le Prince s'était glissé
derrière
moi. Il m'avait pris le poignet, l'avait serré. J'avais
ressenti
cela comme s'il m'avait mis un fer, comme s'il avait voulu
m'enchaîner.
Mon ventre s'était liquéfié. Il
m'avait accompagnée
jusqu'au camion, me broyant le poignet comme il me broyait le coeur.
Puis
il m'avait lâchée. Comme à regret. Quel
homme étrange...
Il
pouvait faire de moi ce qu'il voulait. De par la loi,
je lui appartenais totalement. J'étais son esclave et lui le
Maître.
Mais non. Son sens de l'honneur l'obligeait à m'affranchir. Agnès
cligna de l'oeil, me sourit et chuchota
:
n'aie crainte, tu l'auras ton Maître.
Je ne
revis pas tout de suite le château du Prince.
De l'aéroport provincial du Duché de Berry, le
Prince me
fit conduire dans une clinique. Il me remit au bon soin d'un
célèbre
chirurgien et juste avant de me quitter me libéra de mes
anneaux
d'esclave. J'en pleurais presque ce soir-là, seule dans
cette chambre. Le
lendemain matin, pourtant, ma décision était
prise et et je ferais ce qu'il fallait que je fasse...
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Chapitre 7 : l'asservissement
volontaire de Laureline, Comtesse de Saint-Brieuc
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Je restais un bon mois dans cette clinique.
La cicatrisation des greffes était lente. La chambre était
agréable et je recevais les visites régulières d'Agnès.
Le Prince venait aussi parfois. Je revis Odile également. Elle avait
reçu la permission du Prince. La permission d'un Maître à
une esclave. Car elle avait décidé de s'asservir volontairement
au Prince. Comme TI, travailleuse intellectuelle. Ses études de
droit brutalement interrompues par son enlèvement, lui permettaient
de conseiller le Prince. J'eus également, par Agnès, des
nouvelles de l'ancien Comte et de l'ancienne Comtesse.
Le Prince avait ordonné leur exposition publique,
dans la grande cour du château sur une croix de Saint-André
et la flagellation. Ceci avait duré une semaine. Les deux
esclaves avaient ensuite été stérilisés,
proclamés sous-asservis (en fait esclaves d'esclaves) et envoyés
aux travaux les plus durs. Agnès me dit en riant qu'ils avaient
remplacé un tracteur pour les labours de printemps.
Depuis, ils servaient les esclaves, les soirs, dans la
grande écurie du château.
Puis un matin, le chirurgien m'annonça que je
pouvais quitter la clinique. Il en avait averti le Prince qui viendrait
me chercher dans la soirée.
Les marques du fer rouge ne se voyaient plus. A peine
un léger gonflement apparaissait-il quand il faisait un peu chaud.
Quant aux traces des coups de fouet, plus rien. Mes cheveux avaient un
tout petit peu repoussé, quelques centimètres. Seuls mes
bouts de sein gardaient le souvenir de leur perçage. Six mois, avait
prévenu le chirurgien.
Je tournais en rond tout l'après-midi, changeai
cent fois de tenue. Je me regardai dans le miroir, me trouvai laide à
pleurer, effaçait mon maquillage, le recommençait.
Puis Il arriva. Je savais par le bruit de ses hauts talons,
qu'Agnès était venue aussi, comme prévu.
J'avais répété un millier de fois
le scénario.
Je regardai par la fenêtre quand Il entra dans
la chambre.
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Je me retournai lentement et je me présentai en
soulevant ma jupe.
Puis je relevai la tête fièrement et je
fixai le Prince, droit dans les yeux.
Le Prince me regarda, interloqué. Son regard descendit
vers mon ventre nu où palpitait toujours le code à barre
du numéro d'asservissement.
- Qu'est ceci ? N'avais-je pas ordonné que le
matricule soit effacé lui aussi ?
Le chirurgien va m'entendre. Et vous ! Vous m'avez désobéi
!
- Prince, vous m'aviez affranchie. J'étais donc
libre de mes choix. Et noble. Avec autant de pouvoir que vous. Alors j'ai
décidé de m'asservir de nouveau... Agnès ?
- Oui, j'ai tout. |
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Le Prince se tourna vers Agnès qui sembla se tasser
sur elle même, jouant l'esclave effarouchée tout en fouillant
dans son sac à main, puis de nouveau vers moi.
Je m'étais approchée et agenouillée
devant lui.
Je ne voyais plus son visage, je baissais la tête
et je posai mes mains à plat sur le haut de ses cuisses :
- Passerez-vous le collier à l'esclave 35, Maître
?
Je sus que j'avais gagné. Cette bosse qui peu
à peu grandissait en déformant le cuir de son pantalon ne
pouvait tromper une esclave même novice.
Je déboutonnai alors la braguette, je sortis le
membre de mon Maître et délicatement j'arrondis mes lèvres
autour de son gland.
Puis je l'engloutis.
Mon Maître sentait bon, le cuir, son parfum léger
et son odeur d'homme.
Sa fourrure me chatouillait un peu le nez.
J'attendais.
Le collier.
La voix de mon Maître se fit rauque. Il se racla
la gorge comme gêné :
- Soit. Tu as gagné Laureline. Tu as gagné
esclave 35. Mais tu ne perds rien pour attendre. Et toi aussi esclave 26.
Il n'en dit pas plus. Ma bouche, ma langue avaient bougé. |
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Ses mains se posèrent sur ma tête. Autour
de mon cou, je sentis la douceur du collier qu'il passait autour de mon
cou. Son sexe grandit dans ma bouche, mon ventre s'enflamma soudain et
lorsque j'entendis le déclic du fermoir, je me mis à trembler.
Alors que la jouissance s'emparait de moi, que je l'offrais à ce
Maître tant désiré, tant attendu, le plaisir le déborda
lui aussi et sa liqueur jaillit dans ma gorge.
Je n'essayai pas de le retenir lorsqu'il sortit de ma
bouche, qu'il s'en alla près de la fenêtre.
Je restai à genou savourant mon Maître. |
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- Viens ici. A genou.
J'obéis et arrivais à ses pieds. Il tendit
la main vers Agnès qui lui donna les anneaux.
Je fermais les yeux quand il glissa l'anneau dans le
trou de ma cloison nasale.
Je l'entendis gronder : même pour cela tu m'as
désobéi.
Il fit de même avec le lobe de mes oreilles.
- Laisse nous, Agnès.
- Maître ?
- Ne t'inquiète pas je ne vais pas endommager
ta petite protégée. Juste lui appliquer une bonne fessée.
- Maître... ?
- Va. N'aie crainte. Pour elle. Car en ce qui te concerne,
tu ne perds rien pour attendre. Sors.
Soudain sa voix changea et je levais les yeux, étonnée, mais il avait
déjà saisi et ligoté mes poignets dans mon dos avec
je ne sais quoi.
Il me souleva, me poussa sur le lit, troussa ma jupe...
Et je reçus la fessée que je méritais. |
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- Qu'est ce que vous croyiez toutes les deux ? Que je
n'étais pas au courant de vos manigances ? Vous êtes deux
petites sournoises que j'ai laissées comploter dans mon dos. Mais
j'ai des yeux dans le dos. Et c'était la seule solution pour te
garder.
Ses mains sur mes fesses me chauffaient encore quand
il me retourna sur le dos. Je le regardai. Ses yeux souriaient, accentuant
ses rides, tandis qu'il se déshabillait. Il était heureux
!
Et nu. Et très... viril.
Il s'avança vers moi, sa dague à la main. |
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J'étais estomaquée. Nous croyions l'avoir
manipulé et ...
Il se jeta sur moi comme un tigre. Jamais je ne l'avais
connu Maître à ce point. L'acier tranchant de sa lame déchira
sans vergogne la soie fragile de mon chemisier, et je me retrouvai dépoitraillée,
troussée comme une volaille, à sa juste merci. Il entreprit
alors de dévorer mes seins.
Je gigotais, protestais :
- Vous n'avez pas le droit...
- J'ai tous les droits, je suis
ton Maître, dit-il, la bouche pleine, en croquant un de mes tétons.
- Vous êtes un monstre manipulateur. Vous êtes
un barbare, une espèce de, de... pithécanthrope en rut...
- Oui en rut. Et il croqua l'autre téton.
- Goujat ! Sale bête ! Je vous hais... Aaaah non
pas ça...
Mais quand il entreprit de dévorer mon ventre,
je rendis les armes et je ne fus plus qu'une esclave aux mains liées
que son Maître violait.
Une esclave qui y prenait beaucoup de plaisir.
Beaucoup.
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