Après le diner où Hélène et moi étions de service, le Collector conduisit ses invités dans le studio vidéo. La partie allait commencer sous l'oeil des caméras. Ce soir là on allait "chasser". Les chasseurs étaient les invités, nus et aveuglés d'un bandeau de soie, les proies étant les pièces de la collection personnelle du Collector: Jennifer Miller, Monica Galliani. Pour des raisons de juste équilibre entre proies et chasseurs (2 couples et une célibataire), Hélène avait été ajoutée aux proies. Le but du jeu était simple: les chasseurs devaient attrapper et utiliser, le plus de proies possibles en un temps limité. Savamment entravées, corsetées, vêtues de la tenue des cum-bags, des clochettes aux bouts des seins, , les proies quant à elles, avaient toute liberté ( si l'on peut dire, enchaînées comme elles étaient) de mouvement à l'intérieur de la grande cage du studio.
Quant à moi, on m'avait cantonnée au rôle de serveuse. |
|
.................................................................. La chasse avait commencé. La première à être prise fut la pauvre Jennifer Miller. Par l'homme dont la compagne était resté près du Collector. |
|
|
|
|
..................................................................
Tous deux étaient fort occupés. Trop occupés pour me prêter attention. Je parcourus le studio des yeux: plus de gardien, probablement en train d'organiser leur propre partie; quant au cameraman, il avait disparu. Je devais saisir cette chance. Je reculai doucement, le plateau à la main, vers le sac à main de la mégère et je m'agenouillai servilement. |
|
|
Je fouillai silencieusement le sac de la femme... un véritable donjon mobile. Mais surtout un Nagant, le revolver des russes. Et un couteau.
..................................................................
Dans la cage, la grosse femme venait de capturer Monica Galliani. |
|
|
|
.................................................................. |
Je posai sans bruit les verres et la bouteille sur le sol. Puis je saisis le revolver de la main droite, avant de le faire passer dans ma main gauche, sans lâcher le plateau... Oh ! Ils ont eu Hélène... La pauvre. Mais je ne pouvais rien faire pour elle. Pour l'instant... |
|
.................................................................. |
(cliquez sur Hélène pour un gros plan) |
|
.................................................................. |
Puis j'agrippai le plateau de la main droite et le projetai, comme un frisbee, visant la gorge du Collector. Il s'écroula par terre avec un drôle de bruit, la trachée artère probablement fracassée. |
|
Je le ligotai néanmoins avec des lambeaux de ma combinaison de latex et j'en fis de même avec la petite pute. |
|
Tu restes bien sage. Sinon... |
Peut-être est-il mort ? Mais je m'en moque. |
Ensuite je m'occupai des invités, un par un et en silence. Pas de bruit, pas de coup de feu. Un cou de crosse sur la tête.
Et d'un, Guest 1. Paf sur le crâne.
Au couple maintenant. Je voulais garder en dernier la grosse femme. Je me méfiais d'elle. Hélène avait été délaissée par le couple qui cherchait une autre proie, en se tenant par la main. Je m'approchai d'eux, toujours en silence... Et de trois. Suivante.
|
.................................................................. |
Alors qu'Hélène peinait à se relever, le souffle court, la grosse femme l'avait trouvée.
Suce, prostituka. Mouille bien. Après je mets gode dans cul. Beaucoup profond.
|
|
.................................................................. |
Je frappai. La femme s'écroula sur le sol et je m'empressi de délivrer Hélène de ses liens et entraves. |
|
Merci. Ah ce bâillon. Je n'en pouvais plus
Puis nous ligotâmes la femme avec le latex et les le monogant d'Hélène. |
|
- Elle est robuste. La voilà déjà réveillée !
- Mrrfff Mvo llez mgue mgpaez mgça
- Te souviens tu de la cravache que tu m'as mise dans le derrière ? |
|
J'avoue que je ne connaissais pas le côté rancunier d'Hélène. découvris à cet instant une Hélène vengeresse.
- Mrrgggggguiiiiiiii |
|
Un intense soulagement nous envahit, Hélène et moi. Rapidement dissipé. Nous n'étions pas encore tirées d'affaire.
|
|