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~ COLONIA DIGNIDAD ~ |
Ce fut la dernière fois où je fus torturée pendant cette quinzaine que je passai à Colonia. Je fus ramenée dans ma cellule. Pédé m'aida à me nettoyer de toute cette fange et je pus dormir. Enfin. Ils me laissèrent tranquille pendant deux jours. Ensuite... C'était une sorte de routine. Le matin, Pédé et moi devions faire le ménage dans la maison du docteur. Nous nous partagions le travail. Elle s'occupait du premier étage, je m'occupais du bas. Nous portions l'uniforme bien sur. Une tenue de soubrette, très courte, dont la robe était fendue devant et derrière. Un petit tablier de dentelle, une coiffe, des bas fins et de hautes sandales à talons aiguille. Sans oublier la perruque blonde. Nous nous entravions nous même dans la cellule avant que l'on viennent nous ouvrir la grille et nous emmener à la résidence : chevillières de cuir, harnais de tête avec une bite de caoutchouc dans la bouche et dans le cul, un collier de chienne avec sa laisse, des bracelets au-dessus des coudes qui étaient ainsi enchaînés dans le dos. Les avant-bras, les mains étaient libres. Les premières fois je peinais avec mes coudes ainsi attachés. Passer l'aspirateur allait encore. Mais épousseter tous les bibelots était beaucoup plus dur. Surtout la collection de porcelaine du docteur. Il me fallait prendre un petit escabeau, le porter jusqu'au vaisselier, grimper sur l'escabeau avec mes talons vertigineux Et là, perchée sur ce petit escabeau, en équilibre sur une jambe, je me penchai pour passer le plumeau. |
Evidemment, il y avait toujours un garde qui passait par là. Il restait un moment derrière moi... Je sentais ses yeux me toucher, mes cuisses, ma moule, mon cul pluggé (je parlais maintenant comme ils me disaient de parler: avec un langage putassier) Puis : - descend Trous. Et penche toi. Il ôtait alors les plugs, qu'il me confiait et il m'enculait là, sur place. Puis me tenant par la laisse, il me faisait empaler sur sa matraque, me présentait sa bite: - Allez Trous, suce. Et branle toi. J'obéissais bien sur. Et je le suçais et je me branlais. Et je le suçais et je me branlais. - Oui la pute, c'est bien, continue . L'horreur était que la putain que j'étais devenue, mouillait, mouillait Quand enfin, il tirait un cou sec sur la laisse, sa main appuyant durement sur ma tête, j'engloutissais alors sa bite qui manquait m'étouffer, j'avalai son foutre et je jouissais, je jouissais comme une damnée sur cette matraque qui me défonçait. Je me souviens encore maintenant le bruit dégoutant que faisait mon vagin palpitant alors qu'il en extrayait la matraque. - Hé la pute, n'oublie pas le ménage ! |
A midi, nous pouvions déjeuner seules. Dans notre cellule. Et nous reposer de la nuit précédente et de la matinée. Mais dès quatre heures de l'après-midi, il nous fallait reprendre le service. Cela se passait généralement au jardin, où le docteur recevait ses invités. Il y avait une sorte de "bier garten" où ils passaient l'après-midi à boire bière sur bière, à consommer saucisse sur saucisse et à fumer d'énormes cigares puants. Il fallait donc les abreuver et les nourrir. Nous nous habillions d'un petit uniforme de serveuse, librement adapté du costume traditionnel bavarois. Très court bien évidemment, en vichy rose, avec un chemisier transparent, un petit tablier brodé, des bas fins et de hautes sandales à bride. Sans oublier la jarretière pour le côté sexy de la chose et le corset serré qui faisait pigeonner mes seins. Le maquillage était très appuyé, le maquillage de travail, un maquillage de putain. Et toujours les mêmes entraves aux coudes. Devant ses invités, le docteur expliquait son traîtement, en vantait les résultats : - Ya, ya. Elles s'habillent toutes seules. Même le plug. Voyez ! - De vraies putains ! - Et elles aiment ça. Va te branler, Trous. - Trous ? - C'est son nom. Tous ses trous sont disponibles. - Charmant ! J'avais le feu aux joues. Pour eux, je n'étais qu'un objet sexuel, un ensemble de trous juste bons à remplir. Pire qu'une putain. Mais je ne pouvais qu'obéir. Alors j'obéissais. J'enfourchais le gode vibrant, je me l'enfonçais bien profond et j'ondulais du bassin. Jusqu'à ce que je me mette à trembler, à gémir, jusqu'à ce que je jouisse comme la putain que j'étais. - Voulez vous l'essayer ? - Volontier. La salope est toute trempée ! Elle a vraiment pris son pied. - Bien sur. Le traîtement est parfaitement au point. - Garde ça Trous, pendant que notre ami l'officier t'encule. |
Mais tout ceci n'était rien par rapport au service du soir. Et surtout comme un de ces derniers soirs que je passai à Colonia. Comme tous les soirs, je m'étais corsetée et entravée. J'avais attachée la muselière et j'avais enfoncé le gode double dans l'anneau du bâillon. Mes machoires étaient distendues par une extrémité du gode, l'autre extrémité ressortant obscènement de ma bouche. Je portais un string de cuir qui maintenait en place le plug qui me dilatait le cul, mais sur lequel était fixé un énorme phallus de caoutchouc. Bas résille, jarretière, coiffe de dentelle complétaient mon attirail de putain. Le docteur était là avec un des gardes, son préféré. Une jeune fille était là aussi : ligotée, cagoulée et bâillonnée. Ils avaient dû l'enlevée dans son lit car elle était encore en pyjama. |
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Egoïstement je pensais que ce soir, je serais peut-être plus tranquille, qu'ils ne s'assoiraient pas sur mon ventre et mon visage, s'enculant sur les bites de caoutchouc que j'arborais. |
Quand ils l'eurent dénudée, ils l'allongèrent sur la table basse et enlevèrent la cagoule de la jeune fille. C'était une étudiante dont le fiancé avait été arrêté pour activités terroriste et donc, dans leur logique, elle était aussi coupable. Obéissant aux ordres, je m'agenouillai et présentai ma bite à la fille. Quelques coups de cravache sur ses seins menus la convainquirent rapidement de sucer le membre de caoutchouc.
De même, elle accepta de lécher le gode qui sortait de ma bouche muselée. - Suce bien le bout, chienne. Ca rentrera mieux ! - Allez Trous, mets lui bien à fond. Ouvre la ! L'étudiante pleurait, geignait alors que je la branlais, que je respirais l'odeur de sa chatte. Elle hoqueta quand je m'enfonçais dans sa gorge en même temps que je la pénétrai. Elle manqua s'étouffer quand ils enroulèrent ma laisse autour de son cou pour nous attacher l'une à l'autre. Et elle râla quand le garde m'encula sauvagement et que accompagnant les coups de rein je défonçais le con de la fille qui se tortillait sous moi.. Mais pour elle le pire était à venir. Je m'assis sur la table basse, elle sur ma bite, ses chevilles ligotées dans mon dos. Je la regardais dans les yeux, je lui caressais la taille pour la calmer car j'avais vu le fer rouge. Elle hurla, sauta en l'air, manquant nous faire tomber de la table quand le fer incandescent s'enfonça dans la chair de son épaule. L'odeur épouvantable de chair brûlée emplit mes narines, la pièce. Les yeux de la fille se révulsèrent et elle s'évanouit. Ils la détachèrent de moi. Je me redressai et me tins debout, prête à servir tandis qu'ils la soulevaient, la posaient sans ménagement sur la table basse. - Regagne ta cellule Trous. Je n'ai plus besoin de toi. Je m'éloignai lentement, les laissant jouer avec l'étudiante.Cela allait être horrible pour elle. Elle n'avait même pas été marquée comme putain: gravée par le feu dans sa chair, elle portait la marque "Fleisch", viande. Et je savais que les "viandes" étaient utilisées comme cobayes pour les expériences criminelles du Docteur. |
LA PEINE |